Heureusement, elle se concilie un de ses élèves, à la main déformée. Il la défend, elle essaie de l'aider à retrouver l'usage de son bras, à lui qui voulait devenir dessinateur.
Autour d'eux, les quartiers avec leurs organisations: mafia italienne, proxénètes africains, vendeurs de drogue. Pas de quoi être optimiste.
Le roman, noir à souhait, décrit cette société. Il montre aussi le basculement de jeunes gens vers l'intégrisme islamiste et le terrorisme.
On en sort assez ébranlé. Et assez pessimiste.