Creep in a t-shirt, extrait de leur dernier album Evil Friends:
Leurs énergie sur scène est incroyable et diffuse une sensation assez forte de bien-être et d’envie de se lâcher. On ressort de là heureux et même pas fatigué, les batteries sont rechargées. De la voix androgyne de John Baldwin Gourley et sa guitare nerveuse aux doigts de fée de Kyle O’Quin aux claviers, il y avait une vraie communion, accompagnée d’images psychédéliques qui n’était pas sans rappeler l’époque Yellow Submarines des quatre garçons dans le vent. Quant au batteur, Kane Ritchotte (originaire de la Nouvelle Orléans) il m’a marqué. J’étais hypnotisée. J’ai eu l’impression qu’il vivait tout comme un absolu. Et Zachary Scott Carothers, le bassiste à la voix grave et chaude nous a emportés loin.
Got it all :
Je termine en vous parlant du Nouveau Casino. Petite salle intimiste parisienne, ce fût une belle découverte pour moi. J’ai eu la sensation d’être dans la gueule d’un crocodile métallique de par les murs et le plafond très particulier, tout en facettes géométrique de métal. Avec des pampilles et des cages d’escaliers d’inspiration urbaine 80’s, cela donne un mélange cosy et un effet usine à la fois. Il y a en plus une mezzanine agréable avec quelques banquettes, un vestiaire et un bar dans la salle même.
Je vous laisse avec ma préférée: Sleep forever
Roseline
Portugal. The man : Evil Friends (juin 2013).