- que la barbe ne laisserait passer que 5 à 10% des rayons UV du Soleil. Elle éviterait donc ainsi le vieillissement de la peau et tous les problèmes qu'une forte exposition au bel astre peut engendrer. Notons également qu’elle cache avantageusement les pustules ou de vilaines cicatrices. On dit aussi qu’elle permettrait d'être moins exposé aux allergies car elle jouerait un rôle de filtre naturel pour les narines. Beurk mais bien. Il semble assez évident qu’une mesure phare sanitaire et urgente devrait être prise par le gouvernement, imposer la barbe, aux hommes, aux femmes et aux enfants. Ne laisser personne au bord de la route, ne pas mettre en danger la vie des citoyens. Mieux, et pour plus de confort encore, il faudrait imposer les poils sur tout le corps, pour les mêmes raisons de bien-être. Les esthéticiennes pourraient être alors reconverties à l’entretien de la bienfaitrice pilosité avec applications d’engrais, ou pour des greffes de poils. Développons le dépassement de fonctions, surtout quand c’est gratuit, des pensées plus pour dépenser moins.
- que l’os hyoïde est le seul os qui ne soit pas articulé avec d'autres os du squelette, soutenu simplement par des ligaments et des muscles. Pourquoi lui, pourquoi lui seul ? Les 205 autres font ami-ami, mais avec parfois quelques conflits provoquant quelques douleurs, certes, mais c’est l’inconvénient de leur particularisme inique qu’ils doivent assumer. L’os hyoïde intervient dans la déglutition et la vocalisation, fonctions ô combien importantes dont ne peuvent se vanter le radius ou le cubitus par exemple, donc on peut très bien se passer pour parler la bouche pleine. Et l’os hyoïde peut permettre en médecine légale lorsqu'il est fracturé de diagnostiquer une mort par strangulation, ce qui est quand même trop la classe dans les séries télévisées par rapport au péroné ou au fémur, qui devraient réfléchir à plus d’utilités dans les siècles à venir. Développons le dépassement de fonctions, surtout quand c’est gratuit, l
des pensées plus pour dépenser moins.
- qu’il arrive parfois, quand il se coupe le doigt, légèrement, que l’humain le porte à sa bouche pour le sucer. Cela arrive moins régulièrement avec le coude qu’on se coupe également un peu moins souvent, certes. Il se pourrait que cela soit un comportement instinctif. Une protéine contenue dans l'ensemble de notre corps et surtout en proportion importante dans la salive permettrait d'accélérer le processus de cicatrisation. Ainsi, mais peut-être pas devant tout le monde, si on se coupe le coude, on devrait se cracher dans la paume pour badigeonnage ? La cicatrisation serait-elle plus rapide et plus efficace avec une salive chargée à l’alcool à 90 ? On devrait peut-être faire des tests. Développons le dépassement de fonctions, surtout quand c’est gratuit, des pensées plus pour dépenser moins.
Magazine Humeur
lundi 23 septembre 2013