Il est le candidat du Parti Socialiste à la Présidence de la Région sur lequel les militants vont se prononcer le 10 Octobre prochain. Et, une fois désigné, Nicolas MAYER-ROSSIGNOL devrait devenir le plus jeune président de région de France. Alors, qui est donc Nicolas Mayer-Rossignol ?
Une tête bien faite.
Notre prochain président de région a 36 ans ! Boursier en classes préparatoires scientifiques, il rappelle avoir « eu la chance de pouvoir faire des études de biologie moléculaire à l’Ecole
Normale Supérieure rue d’Ulm, puis à Lyon et à l’Université de Stanford ». Il s’est formé à l’économie et au droit avant de devenir ingénieur des Mines. Il a passé quelques années à la Commission
européenne, où il travaillait notamment pour le développement de nouveaux traitements de thérapie génique, cellulaire et tissulaire. C’était au moment de l’élargissement de l’Union européenne de
2004, de la Convention Giscard, du débat sur le Traité constitutionnel européen.
Un habitué des dossiers importants.
Il a travaillé auprès de Laurent FABIUS à partir de 2008 pour la constitution de la CREA. Depuis mai 2012, il est conseiller du Ministre des Affaires Etrangères au Quai d’Orsay, où il s’occupe
d’Aide aux Pays en Développement, de Santé et d’Affaires économiques internationales. Elu à la Région depuis 2010, il a succédé en 2012 à Guillaume BACHELAY (N°2 du PS) à la vice-présidence en
charge de l’emploi, de l’économie et des énergies. Il a travaillé avec Alain LE VERN sur les grands dossiers régionaux et le budget élaboré. Alain LE VERN lui a notamment confié la présidence du
GIP de la Cité des Métiers.
Un militant aguerri.
Nicolas est un militant politique socialiste et ce n’est pas d’hier soir. Il a vécu la défaite de l’élection présidentielle de 2007 à
Bruxelles, avec les camarades socialistes de la Fédération des Français de l’Etranger. Au sein du PS en Seine-Maritime il a été chargé d’établir des ponts avec les milieux universitaires.
Nicolas MAYER-ROSSIGNOL a été souvent présent aux côtés des Pétroplus. Il dit avoir vécu la défaite de 1995, la joie de 1997, le séisme de
2002, le clash de 2005, l’espoir déçu de 2007, les victoires de 2008, 2010, 2011 et surtout 2012 … Militant socialiste de la section de Mont-Saint-Aignan, Nicolas épouse l’air du temps et n’a qu’un mandat. Il a co-rédigé un livre militant avec Guillaume BACHELAY (« La Gauche après la Crise ») ainsi que
plusieurs articles.
Dans la ligne tracée par Alain Le VERN, avec le soutien des militants et des élus du Parti Socialiste, dans le respect des partenaires de la majorité régionale, en concertation avec les
responsables des collectivités notamment celles dirigées par la gauche (Mairies, Intercommunalités, Département), Nicolas MAYER-ROSSIGNOL
travaillera, à son tour, au rayonnement Haut-Normand, avec sa marque, avec ses compétences, avec la détermination que nous lui connaissons.
Source : PS76
Pour ma part j'ai eu le plaisir de travailler avec Nicolas dès son arrivée en 2008 dans le cadre de la mise en place du Groupement Socialiste Universitaire à Rouen.
- Jacques TEILLET (Professeur émérite de physique, ancien Président de section du Conseil National des Universités)
- Claire TOURNYCHOLLET (Professeur des Universités, Sciences et techniques des activités physiques et sportives)
- Yves LEONARD, Premier Secrétaire fédéral de l’Eure du PS
- Bertrand MONTHUBERT
- Nicolas MAYER-ROSSIGNOL, responsable du Groupement Socialiste Universitaire de Rouen
- Loïc LUCAS, Vice-Président étudiant de l’Université de Rouen
- Michel CHAMPREDON, Maire d’EVREUX
- Aurélien BATEUX, animateur fédéral du Mouvement des Jeunes Socialistes (MJS)
Avec cette expérience au côté de Nicolas, je peux témoigner de son sérieux et de ses différentes qualités humaines.
Maintenant bon courage à toi Nicolas.