Ça a été un peu la fête des montagnes russes ces derniers temps pour moi.
Il s’est passé des choses aussi désagréables que cools.
Et j’ai eu cette phrase aussi bateau que philosophique lundi en parlant avec ma collègue Chacha : purée, si on m’avait dit y a une semaine que je serais hystérique contente comme ça, j’aurais halluciné.
Et j’ai halluciné.
Après 1 semaine de reprise de boulot, j’avais déjà mon premier rhume de l’année qui ne s’est pas gêné pour me mettre ko pendant quelques jours. Et mon nez a pu à sa guise, faire de la fucking trompette.
Mon chat a eu de gros problèmes de santé. Ce matin là, je me lève, lui donne à manger. Il mange, se lèche les babines, va dans sa litière et là rien. Pas de pipi qui sort. A ce moment là, je n’ose y croire, mais dans un coin de ma tête je sais déjà ce qui se passe. Le Mao me refait un remake de sa cystite d’il y a près de 2 ans et il va falloir l’emmener DE SUITE consulter. J’attends un peu, mais quelques minutes plus tard ça recommence. Lui (en mode terrorisé) et moi (en mode stress) avons cavalé jusqu’aux urgences. La véto est très gentille, rassurante, met ça sur le compte du stress pour lui (le départ de son maître) ou d’un changement de nourriture. Pas de soucis majeurs, je repars à la maison avec des médocs. Malheureusement, cela n’a pas marché et je suis repartie là bas à 1h du mat. Ce soir là, quand je suis partie à 3h, j’ai laissé mon ti chat. Il a été sondé et hospitalisé. Ça a été difficile, je me suis sentie vraiment triste et peinée. Depuis il est revenu à la maison, j’ai bataillé beaucoup, beaucoup, pour lui faire avaler ses médocs (qu’il refusait de prendre, même quand ils étaient cachés dans la bouffe, sinon c’est pas drôle). Mais voilà, ça va mieux. Et de-stressés le chat et moi, nous sommes. Comme vous pouvez le voir
Et puis dans ce marasme de turpitudes angoissées, de bonnes nouvelles sont arrivées. Je vous en avais parlé la semaine dernière, Stephen King vient en France et je doutais d’avoir une place. Eh bien, c’est bon, je l’ai eu cette place, ce sésame qui va me permettre de voir cet auteur que j’adule depuis tant d’années.
Je suis allée voir -M- à la fête de l’huma. Ce fut intense, mais court. Il a plu, plu et re-plu. J’avais froid, j’étais trempée, mais j’étais très au taquet. J’ai du partir avant la fin du concert, me promettant de le revoir une prochaine fois cette année. Figurez-vous que mon vœu a été exaucé. J’ai participé à un concours pour le voir dans le cadre d’un enregistrement télé, mais je n’ai pas gagné. Sauf que des places ont été remises en jeu au dernier moment, j’ai été rapide et j’ai eu deux places.
Le concert ?
De la boulette, j’ai croisé Miss Bavarde qui y était aussi. Une ambiance de folie, un public puissant et une énergie contagieuse de -M-. J’annonce, je suis amoureuse de ce mec. C’est un performer incroyable qui nous a offert un show de ouf d’1h30. Malgré mon rhume carabiné (et oui encore une fois), j’étais euphorique. Et je sais déjà que le souvenir de ce concert va me donner le sourire pendant plusieurs jours. Plus je le vois sur scène (c’était la 5ème fois) et plus je suis accro à sa musique et à ses performances. En plus, il arrive à garder sa musicalité toute en évoluant. Il se pourrait même que je le revoie sur scène, on verra.
Oui je le kiffe !!!!!!!
Allez je vous laisse avec son dernier single, que j’écoute en boucle parce que j’en suis dingue :
Baïa,, ïa, ïa, ïa, ïa, ïa, ïa, ïa ïa, ïa, ïa, ïa, ïa, ïa, ïa, ïa,