Ecrire un livre vous tente-t-il ?

Y avez-vous déjà songé  ?

Ecrire un livre  vous tente-t-il ?

Écrire un livre

Il y a la foire de Paris, la foire du Trône, la foire aux vins et ceux qui les fréquentent : les enfoirés.

Il y a aussi la foire aux livres.

Or, dirait Lapalisse, qui dit foire aux livres dit livres.

Bel argument qui pèse son poids : une bonne livre.

Alors comment écrire un livre ?

D’abord, ne pas vouloir concurrencer Flaubert, ou J.K. Rowling, cette anglaise qui a accumulé les livres… sterling surtout.

Ensuite, livre de poche ou livre en ligne ?

Franchement, peu importe, trouvez d’abord votre sujet.

Et racontez une histoire passionnante pour vos lecteurs.

Une histoire qui les fait voyager ou, au contraire, proche de leurs problèmes et préoccupations, à laquelle ils s’identifient pour l’avoir plus ou moins vécue ou pour l’imaginer.

Proposez-leur :

Un ouvrage leur apprenant quelque chose de précieux au quotidien.

Un opuscule qu’ils lisent, au bureau à midi, dans les transports ou dans leur lit : un livre de chevet.

Un recueil qui manie le paradoxe, le grave et le léger, le compliqué et le simplissime, le droit et le tordu.

Si possible, un livre marrant à lire.

Qui parle de choses sérieuses sans se prendre au sérieux, le message passe tellement mieux.

Écrire un livre, c’est prendre la vie au mot.

Et en décrire les maux.

Ceux qui piquent le nez, la moutarde de Meaux.

Les maux auxquels on réfléchit, les maux de tête.

J’en suis sûr, chers lecteurs, vous me comprenez.

A « demi-maux ».

Écrire un livre, c’est encourager,

faire réagir pour bondir et rebondir.

C’est donner au lecteur l’envie d’avoir envie.

Un moment de récréation instructive, d’apprentissage décontracté.

De la belle ouvrage en quelque sorte.

Alors n’ayez pas le tract… euh… le trac, lancez-vous !

Écrire un livre c’est d’abord décrire.

Décrire des situations, des gens, des parcours, des tranches de vie.