Pour Georgi Dzhangyryan, président de la Fédération nationale de rugby ukrainienne, il faut surtout « du courage, et avoir l’esprit sportif ». Depuis Stockholm, Chris Sigworth, directeur responsable du développement de l’Union rugby suédoise, lui fait écho : « Le rugby se base sur le respect. Respect des adversaires et de l’arbitre. On joue dur, mais propre. » Ce n’est pas pour rien que l’un des usages les plus fréquents soit la troisième mi-temps : après le match les équipes adversaires vont fêter ensemble, tout comme le font les supporters. Pas besoin d’ajouter que dans les tribunes du stade, les spectateurs sont mélangés ; de la même façon il n’y a pas de virage délimité.
Source : cafebabel.fr