Stéphane et Sandrine ont acquis l'an dernier un confortable cent mètres carrés au coeur d'un quartier résidentiel de Marseille.
Villeen devenir où le seuil de pauvreté ne devrait plus résister bienlongtemps aux hordes d'étrangers solvables decendus avec le TGV.
Enattendant, nos deux primo ont du forcer leur réalité économique pourfinancer 370 000 euros avec l'aide irrationelle de leurs ascendants. Uncas incongru et évidemment largement minoritaire qui revèle l'avanie denotre temps:
200 000 euros déboursés par des parents aisés ettotalement inconscients d'avoir contribué à la plus grande imposturedepuis la bulle internet...
Une imposture qui enrichit au final unegénération déjà bien remplie et emplie de dépit celle qui sera censéeramasser les débris...
Suite de l'article : le mirage collectif de la bulle comme arme de spoliation entre générations...