J'ai appris récemment la fin du forum dégustateurs.com.
Je suis loin de moi vouloir adorer ce que j'ai brûler il y a peu (d'où d'ailleurs je me suis fait virer), mais comme le disait je-ne-sais-plus-qui : « quand
un journal disparaît, c'est un peu de démocratie qui disparaît ». On peut transposer aisément aux fora ou tout autre espace de discussion ou de liberté.
On ne peut aujourd'hui décemment se réjouir d'une telle nouvelle.
Bruno