La rentrée du cinéma c’est du 11 au 17 septembre 2013 et c’est 3,50€ la place en échange d’une contremarque BNP Paribas que vous pouvez tenter de gagner ici.
Du 11 au 24 septembre, ce sera aussi le meilleur de la quinzaine des réalisateurs. Du coup je nous ai préparé une petite sélection de films qui ont l’air aussi bien alléchants que captivants :
Les Apaches de Thierry de Peretti
Corse / Extrême Sud /L’été.
Pendant que des milliers de touristes envahissent les plages, les campings et les clubs, cinq adolescents de Porto-Vecchio trainent. Un soir, l’un d’eux conduit les quatre autres dans une luxueuse villa inoccupée… La bande y passe clandestinement la nuit. Avant de partir, ils volent quelques objets sans valeur et deux fusils de collection. Quand la propriétaire de la maison débarque de Paris, elle se plaint du cambriolage à un petit caïd local de sa connaissance…
Chaque jour que Dieu fait de Paolo Virzi
C’est l’histoire de Guido et Antonia, deux amoureux que tout oppose et tout rapproche : lui, patient, posé et cultivé, travaille de nuit comme portier dans un hôtel et étudie les langues anciennes.
Elle, angoissée, instable, susceptible et fière de son manque d’érudition, travaille de jour dans une entreprise de location de voitures et veut devenir chanteuse.
Ils se croisent (et s’aiment) au petit matin, lorsque Guido rentre du travail et réveille Antonia, qui, elle, doit s’y rendre.
Un jour, ils décident d’avoir un enfant…
A strange course of events de Rafael Nadjari
Saul, la quarantaine, rêveur et mélancolique, court chaque fois qu’il ne va pas bien, chaque fois qu’il veut fuir sa vie. Sur un coup de tête, il décide un jour de rendre visite à son père qu’il ne voit plus depuis cinq ans et qu’il tient pour responsable de tous ses maux. A Haïfa, en quelques jours, de chutes en déconvenues, entre drame et burlesque, il découvrira un père transformé, un monde réinventé et, peut-être, l’espoir d’une vie nouvelle.
Après la nuit de Basil Da Cunha
Tout juste sorti de prison, Sombra reprend sa vie de dealer dans le bidonville créole de Lisbonne. Entre l’argent prêté qu’il ne parvient pas à se faire rembourser et celui qu’il doit, un iguane fantasque, une petite voisine envahissante et un chef de bande qui se met à douter de lui, il se dit que, vraiment, il aurait peut-être mieux fait de rester à l’ombre…
Ilo ilo d’Anthony Chen
Ilo ilo relate la relation entre une famille singapourienne et leur domestique Teresa, fraichement arrivée des Philippines et qui, comme beaucoup de ses compatriotes, aspire à une vie meilleure. L’arrivée de Teresa complique encore un peu plus les rapports déjà tendus entre les parents et leur fils.
Pourtant, entre Teresa et le jeune et indomptable Jiale dont elle s’occupe, naît une véritable amitié. Leur complicité s’affirme de jour en jour et la jeune femme devient progressivement un membre officieux de la famille.
La crise financière asiatique de 1997 commence à sévir dans toute la région…
Le Majordome de Lee Daniels
Le jeune Cecil Gaines, en quête d’un avenir meilleur, fuit, en 1926, le Sud des États-Unis, en proie à la tyrannie ségrégationniste. Tout en devenant un homme, il acquiert les compétences inestimables qui lui permettent d’atteindre une fonction très convoitée : majordome de la Maison-Blanche. C’est là que Cecil devient, durant sept présidences, un témoin privilégié de son temps et des tractations qui ont lieu au sein du Bureau Ovale.
À la maison, sa femme, Gloria, élève leurs deux fils, et la famille jouit d’une existence confortable grâce au poste de Cecil. Pourtant, son engagement suscite des tensions dans son couple : Gloria s’éloigne de lui et les disputes avec l’un de ses fils, particulièrement anticonformiste, sont incessantes.
À travers le regard de Cecil Gaines, le film retrace l’évolution de la vie politique américaine et des relations entre communautés. De l’assassinat du président Kennedy et de Martin Luther King au mouvement des "Black Panthers", de la guerre du Vietnam au scandale du Watergate, Cecil vit ces événements de l’intérieur, mais aussi en père de famille…