Après avoir été recalée pour les prochains jeux qui auront lieu à Rio de Jeinero en 2016, la capitale nippone a obtenu gain de cause en ayant été désignée pour accueillir les JO de 2020.
Depuis 2000, l’alternance entre les continents continue (2000 : Océanie, 2004 : Europe, 2008 : Asie, 2012 : Europe , 2016 : Amérique, 2020 : Asie).
C’est la deuxième fois que la mégapole accueille ces jeux après la première édition qui avait eu lieu en 1964.
Son budget de candidature était de 55,5 millions d’euros. En tout 5,9 milliards ont été prévues dont 2,59 pour l’organisation et 3,31 pour les infrastructures.
Parmi les trente-six sites sportifs qui ont été annoncés, quinze existent, dix sont à rénover et onze sont à construire d’ici là. Ces sites seront répartis sur deux zones différentes : l’une exploitera une partie des sites de 1964, l’autre, entièrement nouvelle, sera située en front de mer.
La durée des jeux ayant été proposés par les organisateurs va du 24 juillet au 9 août 2020.
Après le séisme et les dégâts causés sur la centrale nucléaire de Fukushima en 2011, la ville était repartie en campagne. Le Comité d’organisation avait bien mis en avant ses normes antisismiques face au risque de tremblement de terre et écarté tout risque crainte de radiation.