Hâtons nous de profiter des jolis papillons qui virevoltent ici et là, bientôt ils vont disparaître et les mois seront longs avant leur retour. Dernier invité certainement, de la saison sur ce blog, voici le Vulcain aussi appelé Atalante.
Papillon d’une envergure de 50-60mm, donc assez grand, on notera ses ailes antérieures avec bande rouge et apex (pointe de l’aile) noir tacheté de blanc, alors que le dessous des ailes postérieures est marbré de brun foncé. Le dimorphisme sexuel est quasi inexistant, du moins comparativement à d'autres espèces.
Fréquent partout, on l’observera souvent dans les jardins, sur les fruits tombés ou dans les massifs de buddleia (l’arbre à papillons) car si le nectar des fleurs est la nourriture principale du vulcain, on le voit souvent se nourrir du jus de fruits tombés au sol comme les pommes, prunes ou raisins.
Migrateur venant chaque année du sud de l’Europe pour se reproduire, le papillon repart à la fin de l’été. Sa chenille, jaune-gris à noire, se développe principalement sur la grande ortie. La femelle pond ses œufs, un à un, sur le dessus des plantes de petite taille exposées au soleil. Contrairement à d’autres espèces qui comptent sur un effet de masse pour se protéger, les chenilles du Vulcain sont solitaires. Mais alors ? Vous interrogerez-vous. Hé bien, leur astuce est de se barricader ! La chenille ronge le bout du pétiole d’une feuille d’ortie jusqu’à ce qu’il se coude, puis s’en enroule.
Le papillon incite à la poésie, alors ne résistons pas. « Voici le Vulcain rapide / Qui vole comme un oiseau / Son aile noire et splendide / Porte un grand ruban ponceau » Gérard de Nerval
Hâtons nous de profiter des jolis papillons qui virevoltent ici et là, bientôt ils vont disparaître et les mois seront longs avant leur retour. Dernier invité certainement, de la saison sur ce blog, voici le Vulcain aussi appelé Atalante.
Papillon d’une envergure de 50-60mm, donc assez grand, on notera ses ailes antérieures avec bande rouge et apex (pointe de l’aile) noir tacheté de blanc, alors que le dessous des ailes postérieures est marbré de brun foncé. Le dimorphisme sexuel est quasi inexistant, du moins comparativement à d'autres espèces.
Fréquent partout, on l’observera souvent dans les jardins, sur les fruits tombés ou dans les massifs de buddleia (l’arbre à papillons) car si le nectar des fleurs est la nourriture principale du vulcain, on le voit souvent se nourrir du jus de fruits tombés au sol comme les pommes, prunes ou raisins.
Migrateur venant chaque année du sud de l’Europe pour se reproduire, le papillon repart à la fin de l’été. Sa chenille, jaune-gris à noire, se développe principalement sur la grande ortie. La femelle pond ses œufs, un à un, sur le dessus des plantes de petite taille exposées au soleil. Contrairement à d’autres espèces qui comptent sur un effet de masse pour se protéger, les chenilles du Vulcain sont solitaires. Mais alors ? Vous interrogerez-vous. Hé bien, leur astuce est de se barricader ! La chenille ronge le bout du pétiole d’une feuille d’ortie jusqu’à ce qu’il se coude, puis s’en enroule.
Le papillon incite à la poésie, alors ne résistons pas. « Voici le Vulcain rapide / Qui vole comme un oiseau / Son aile noire et splendide / Porte un grand ruban ponceau » Gérard de Nerval