O_o Et le soir en rentrant on a des surprises !

Au beau milieu de la nuit : le moment typique où l’on envoie des mails et des sms désespérés… Le matin on se demande si on n’a pas rêvé. Et bien sûr il n’en est rien !

Pas de retour en arrière possible, on a bel est bien écrit tout ce qu’on rumine dans les pires moments de doute et hum, faut bien le reconnaître, ce n’est pas glorieux-glorieux !

Au moins "l’autre" est enfin informé de nos grandes questions philosophico-existentielles…

Reprenons.

La nuit dernière : fatigue + stress + doutes ➳ envoi des fameuses questions (sûre et certaine que vous les avez aussi déjà formulées au moins une fois) ; ce que classiquement une très grande majorité de ♂  qualifient de "prise de tête" :

• qu’est-ce que tu veux ?
• je suis quoi pour toi ?
• pourquoi tu m’appelles jamais ?
• pourquoi on ne se voit pas plus ?
• et on va où là comme ça ?

Ce matin : caféine = réveil ➳ oups !! mais qu’est-ce que j’ai encore fait ?!?!?!?!?

Pendant la journée : boulot + soleil + pas moyen d’être connectée  ➳ pas le temps de m’inquiéter de tout ça, du moins pas trop…

Le soir : retour à la maison = zut flûte, de nouveau le smartphone à portée de main, l’ordi ouvert et la cervelle en ébullition.

Et là c’est le drame* !

*Jules Edouard Moustique – Journal du Groland – Canal Internationnal (Rappelez-vous : "L’information, c’est vous qui la vivez, c’est nous qui en vivons",…)

Le téléphone sonne. Son nom s’affiche. Hum, qu’est-ce qui m’attend ?

Ah ! Ah !

Et bien la réponse, ça sera pour une prochaine fois ! Enfin presque. J’ai été très étonnée qu’il appelle. Au sujet de mon fameux sms kilométrique. Sans une once de reproche, limite désolé de ne pas avoir eu le temps d’y répondre… Étonnement bis… Le dénouement de cette conversation : il prendra le temps, par mail, de m’éclairer sur ses intentions et ses envies.

Ok, très bien, nickel, parfait. On avance, je ne sais pas dans quel sens, mais on avance.

Et je ne suis pas, mais alors pas du tout impatiente de recevoir sa réponse (irony inside of course !).

Middle of the Night – Lilly Wood and the Prick (oui je vous l’ai déjà postée il y a peu, mais je l’ai pas mal en tête ces temps-ci et puis "middle of the night" me semblait aussi pas mal d’à propos…).