Je voudrais pas être Syrien. Il a dit Obanania (*) le grand costaud vitaminé du matin, çui qui pète la gueule à tout le monde à la récré qu'il frapperait pas avant le sept septembre mais qu'il allait le faire, dès que le congrès rentrerait de vacances. Après la plage la guerre :"Sous le sable les F16", qui z'avaient qu'à numéroter leurs abattis. Z'ont plus que ça à faire les damascènes, la trouille au ventre z'ont commencé alors à décompter... sept, six, cinq... à zéro t'as pris un petit déjeuner familial vitaminé pimenté au missile Tomahawk & à l'obus à l'uranium enrichi sur la tronche !!!
J'écris pas ça car le conflit syrien peut y mener mais parce que dans l'esprit ça peut parfaitement arriver, le monde est prêt. Paré à l'abordage. L'histoire n'a pas pris une ride. "Delenda carthago est" : Caton l'Ancien a répété pendant des lustres qu'il fallait péter la gueule aux basanés carthaginois, les légions romaines finirent par le faire. Barak et les présidents étasuniens répètent la même chose depuis des éons à propos des "rouges" et des "barbus", le locataire actuel de la Maison Blanche va casser celles (baraque & gueule) de Bachar et pis c'est marre comme dirait Philippe Lucas...
Comme le dragon dans Bilbo, Hitler ne dort que d'un oeil. Pas mort pour un sou le mec. Pas morte la connerie humaine, et sa progéniture fille-mère : la barbarie.
(*) Je tiens solennellement à préciser qu'il n'y a pas un seul zeste de racisme dans mon propos. Je fais un jeu de mot bon enfant avec le nom du président étasunien et le petit-déjeuner survitaminé, mais que le raciste prenne garde, il trouvera toujours ma plume en travers de son chemin. Dont acte !