Pour contacter Claire Cano : claire.cano@gmail.com
Luckyloc fait partie de cette catégorie de plateformes 2.0 qui améliore un marché traditionnel, qui sans l'Internet et les outils du 2.0, ne pourrait pas le faire...
Le marché en question est celui des loueurs de voitures et de véhicules utilitaires, qui dans leur monde traditionnel sont obligés de faire convoyer par des sociétés de convoyage, les voitures louées, pour les ramener à leur point de base. Donc coût important pour eux...
Luckyloc leur permet de diminuer ce coût, en proposant à des particuliers de devenir des "convoyeurs" pour 1 €. Stratégie win-win pour tout le monde...
Claire - qui a découvert cette mécanique en Nouvelle Zélande - nous présente sa plateforme et nous explique en détail comment elle a "revampé" le dit marché..
Pourquoi faire payer 1 € aux utilisateurs ?
Questions habituelles de ma part : business model, marchés potentiels, assurances du véhicules, économies moyenne de rapatriement d'un véhicule, combien de trajets ont été initiés par Luckyloc depuis sa création ? Y a-t-il une saisonnalité dans le transfert de véhicules ? (on estime qu'il y a 450.000 transferts en France par an), concurrence ? qu'est ce que le buy-back ? etc.
Peut-on considérer que Luckyloc est dans le domaine de la consommation collaborative ?
Visées européennes ? "Naturellement, car il y a une demande de convoyage avec l'Allemagne et l'Espagne".
Commentaires au débotté.. Luckyloc est un gestionnaire de logistique, visant à améliorer un marché pré-existant. La majorité des startups visent à revamper des marchés traditionnels à des degrés divers. Soit en s'occupant que d'un segment - cas de Luckyloc qui ne s'occupe que de la logistique du convoyage retour. Soit en s'occupant de revamper l'entièreté du marché entre l'offre et la demande. Et là, ils "revampent" l'intermédiation traditionnelle. Ce qui dans ce cas, ne plaît pas à tout le monde. D'autres types de startups proposent des systèmes d'add-ons pour améliorer une position d'une entreprise traditionnelle sur son marché. Par exemple Get+ au niveau commercial dans le monde du B2B. Ou des add-ons de calcul de e-réputation du fait de l'émergence depuis quelques années des réseaux sociaux.
© Une production du Billautshow - the video for the rest of us - the e-billautshow : the french worldwide hub