Attaques violentes sur les réseaux sociaux, avec production de correspondances privées contre des militants... Je prends connaissance de cette ligne qui apparaît dans une lettre ouverte au Maire. Il me semble à moins d'être un imbécile être visé dans ce courrier pour avoir effectivement publié sur mon blog des sms violents, menaçants à l' encontre de Monsieur Georges Locko et cela avec sa permission. Des sms d'intimidations qui par leur contenu ont bouleversé mon ami et surtout sont inattendus dans le cadre du débat politique normal. Oui il faut cadrer les débordements. La victime dans ma publication des sms n'est pas l'expéditeur du contenu inadmissible, violent. La seule victime est bien Monsieur Georges Locko et cela même alors qu'il exerçait de plein droit son devoir républicain d'élu. Il subissait une pression, une injonction inqualifiable et disqualifiante pour l'auteur. Pression sur un vote, sur un pouvoir de vote qu'il m'avait donné comme la loi seule lui autorise. De retourner les faits pour me désigner comme individu décidé à perturber un "bon" déroulement de campagne est fort de café et révèle la manipulation type qui caractérise en psychanalyse les agresseurs. Je les invite à lire les ouvrages remarquables et référents de Marie-France Hirigoyen. La loi du plus fort ne règne pas et l'œuvre paralysante sur la victime ne sera pas menée. Monsieur Georges Locko, agressé, est conscient de son état et ne se fera pas intimider au delà de ce qui a été entrepris! Il est insupportable de recevoir une leçon en l'espèce. S'il s'avère que mon comportement en publiant les outrages reçu par mon collègue est contraire la légalité républicaine j'appelle mon détracteur et l'auteur de cette correspondance de cour de récréation, de cette brutalité outrageante à porter plainte. A me confondre face à a Loi en engageant leur indignation et leur émoi devant une juridiction! J'attends! et de pied ferme car il suffit maintenant de ces procédés! Il faudra alors expliquer cette obscénité politique, cette attitude menaçante. Une correspondance perd de son caractère privé dès lors que son contenu porte des propos discriminants, menaçants ou des pressions pouvant faire l'objet d'un recours à la Loi. J'attends! Et si rien ne vient je les mets en demeure de cesser ces allusions. Par ailleurs j'ai d'autres petits trésors de sms à faire paraître le cas échéant. Ils sont du même fût! On me reproche également d'avoir mis en exergue un comportement inattendu sur une vidéo publique en ligne sur le site de notre ville. Là aussi il y a inversion pour entretenir une confusion. Et tout cela est public et a fait le tour d enotre ville avant que je ne m'en saissise avec l'autorisation de l'élue victime.