L’étude a consisté d’abord à poser de nombreuses questions à pratiquement 300 personnes âgées sur leurs habitudes d’activité cognitive depuis l’enfance, par exemple la lecture, l’écriture de lettres ou de visites de bibliothèque. Les chercheurs ont suivi leurs capacités cognitives jusqu’à leur décès. On a évalué différentes compétences comme la mémoire à long terme, la mémoire de travail et les capacités visuelles et spatiales.
Quelques heures après le décès, on a retiré le cerveau et examiné les différentes preuves de pathologies. C’est ainsi qu’on a remarqué le bénéfice de ces activités cognitives en dépit des pathologies.