Je viens de corriger les quelques fautes de clavier qui altéraient la lisibilité du dernier post. Mon doigté de dactylographe n'est pas au point et ma relecture sommaire! C'est un défaut qu'il me faudra corriger.
A part cela je goûte au plaisir de ce dimanche 1er septembre qui est sous le signe du soleil et bien être. Demain rentrée avec BM et rendez-vous divers de travail pour renouer avec le rythme rompu par ces deux mois d'été.
Et au cours de cet après-midi j'apprends que sur la question syrienne nous nous trouvons bien seuls après le revirement de B. Obama qui va consulter le Congrès avant de décider d'une action en Syrie! Chez nous si la Constitution dans son esprit et sa lettre justifie l'attitude du Président de la République, argument recevable déployé par le Premier Ministre et H. Désir, il n'en demeure pas moins que nous sommes bien seuls à ne pas consulter ( c'est l'esprit ) et prendre et l'avis de la représentation nationale... cela contrairement aux anglais et maintenant Obama. L'affaire s'engage donc mal et nous avons plus les américains à suivre en ligne de mire pour engager nos troupes dans une opération à haut risque .. Le débat est important. Il est demandé. Faire taire toute opposition au principe d'engagement et dans le cadre de cet enjeu international particulièrement délicat est innapproprié. Nous devons débattre, nous devons attendre les conclusions des experts de l'ONU et comme Poutine demander la publication des preuves de la culpabilité. Je ne suis pas d'esprit Munichois au simple prétexte que je, comme d'autres politiques, de droite et de gauche, ce débat parlementaire accompagné des preuves de la culpabilité syrienne au sujet de ce crime odieux. J'aimerais sur ce sujet de politique internationale bien pouvoir lire l'opinion du Parti Socialiste local.
Jeu de briques
Snake
Pacman
Bubble