Bon ayé, je me décide à mettre sur le côté droit du blog un bouton de dons.
Voilà, vous allez comprendre.
Si votre langue usuelle se trouve être la même que la mienne, c'est-à-dire le français. Et que vous la pratiquez avec assiduité sur les bords.
Voilà un chouette bouton, vous en conviendrez avec moi:
Depuis la dissection, ben je galère pas mal, j'ai intégré la dynastie des Capet, et mon nouveau prénom est Andy pour l'administration. Alors certes c'est chouette, le prestige toussa, les soirées chez l'ambassadeur et ses pyramides de rochers praliné toussa, oui mais globalement, malgré l'étourdissement des fêtes qui se terminent au petit matin dans les palais royaux et sous les ors et les lambris de la MDPH locale, globalement disais-je, mon revenu a diminué de 65% environ, bon les deux tiers quoi, et puisque le marché du travail m'est devenu difficilement accessible pour raison de santé, ça coince sur les côtés, pour ne rien vous cacher, et le prix de la caisse de Dom Pérignon a teeeellement augmenté.
Alors voilà c'est tout, si vous aimez ce blog, si vous estimez que mon travail mérite quelque chose, eh ben je vous encourage à cliquer comme des malades sur le bouton idoine ci-contre, vous pouvez donner ce que vous voulez, dans la limite de 200 000 euros par mois et par personne. Bon disons que si vous êtes 500 à me faire un don de 5000 euros par mois, je vous cache pas qu'on sera ric-rac aux entournures mais ça passera quand même.
Bon trêve de plaisantement, si vous voulez me soutenir, si vous voulez m'aider, si mon travail vous plaît, le cliquement c'est maintenant, vous donnez ce que vous voulez, à la fréquence que vous voulez. J'ajoute que vous n'avez pas besoin d'avoir un compte paypal pour faire un don, il vous suffit d'avoir une carte bancaire, un ordinateur et un compteur d'électricité, et des doigts, accessoirement.
Merci. Ou pas.
Dieu vous le rendra. Ou pas.
Ce sera la surprise.
Ou pas.
"-Bon Moumoune, j'ai rien oublié?
-Tu leur as dit qu'on prenait pas les vieilles grand-mères usagées?
-Rhaâââ putain j'ai oublié, LA BOULETTE!"