En temps de guerre, de nombreuses personnes disparaissent, laissant leur famille et leurs amis dans l’angoisse et l’incertitude. Les personnes ont le droit de connaître le sort de leurs proches disparus. Les gouvernements, les autorités militaires et les groupes armés ont l’obligation de fournir des informations et de participer aux efforts déployés pour regrouper les familles.
Aujourd'hui, 30 août, en cette Journée internationale des disparus, la priorité du CICR demeure de mieux répondre aux besoins des familles des disparus.
« Chaque année, des centaines de milliers de personnes se retrouvent séparées de leurs proches dans ce genre de situations », explique Marianne Pecassou, cheffe de l’Unité rétablissement des liens familiaux et personnes disparues du CICR. « Les familles vous diront qui leur importe, plus que toute autre chose, c’est savoir ce qu’il est advenu de la personne qui a disparu, même si, dans la plupart des cas, la question risque malheureusement de rester sans réponse. Les familles ont cependant d’autres besoins, qui vont au-delà de cette première préoccupation. » (Lire la suite)
Ecouter également l'interview de Marianne Pecassou, cheffe de l’Unité rétablissement des liens familiaux et personnes disparues du CICR jointe par téléphone :
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