- que le score de Glasgow, reconnu internationalement, est un indicateur de l'état de conscience qui permet de mesurer la profondeur du coma. Il se calcule à partir de 3 critères, l'ouverture des yeux, la réponse verbale et la réponse motrice et est coté entre 3 et 15. Plus il est faible et plus le coma est profond. Et le score de Bourbon, alors, quid du score de Bourbon ? Qui a visionné une seule fois dans sa vie les séances de l’Assemblée Nationale aurait envie de créer ce score. Sur les bancs, ouverture des yeux, réponse verbale et réponse motrice sont parfois si absentes qu’on les coterait à 15, nos députés. Et au bout de trois 15, soyons charitables, tu perds ton mandat. Changeons tout, la donne, la bonne, la conne, les dons, les bons, les cons, tout quoi.
- qu’à la Renaissance, l'opéra voyant son succès s'accroître, les jeunes garçons, dont la voix était si appréciée, se faisaient castrer avant l'adolescence, afin de la garder, de les garder, la voie et la voix. En les castrant, la production de testostérone était affaiblie et empêchait donc la mue. Pour les mélomanes, remettons donc le principe à la mode. Et pour quelques autres aussi, même s’il faudra, pour les supporters par exemple, pousser un peu plus sur les cordes pour se faire entendre dans les stades, mais peut-être calmera-ce les ardeurs de ces derniers à vouloir en venir aux mains ou à proposer à l’arbitre d’aller se faire, je crois, énucléer, si j’ai bien compris leurs propos. Changeons tout, la donne, la bonne, la conne, les dons, les bons, les cons, tout quoi.
- que l’application pour iPhone, nommée iVIP black, coûte 899,99€. Elle serait uniquement réservée aux millionnaires qui devraient prouver qu'ils le sont bien. Elle propose des services de luxe tels que la réservation de jet privé, d'hôtel luxueux ou de yacht. Faisons-nous faire de faux certificats, privons-nous un peu et déboursons 900 euros, et laissons la monnaie, royalement. Puis réservons à tout va, avions, yachts, suites d’hôtels, restaurants privatisés. Et n’y allons pas. Pour la blague. Et esclaffons-nous pendant des heures. Certes, on peut rire pour moins cher, mais là, on saura pour combien on se marre. Changeons tout, la donne, la bonne, la conne, les dons, les bons, les cons, tout quoi.
lundi 26 août 2013