Présenté ainsi, Féerie générale a l’air d’un sacré foutoir. Après tout, disons-le : Féerie générale est un sacré foutoir. Mais un joyeux foutoir qui, malgré le titre, contourne les idées générales pour plonger au cœur de situations particulières proposées sur un ton primesautier et avec, contre toute attente, un certain esprit de suite. Emmanuelle Pireyre n’oublie rien en cours de route, même pas ce qu’on pensait qu’elle avait jeté là pour ne jamais le reprendre plus tard. Les articulations sont discrètes mais elles sont présentes. Et si, à la fin, on hésite à se dire certain des réponses à donner aux sept questions fondamentales, une certitude nous habite : ce fut un moment d’enchantement comme il s’en rencontre peu, un festival de petits bonheurs qui, ajoutés les uns aux autres, en forment un grand.
Présenté ainsi, Féerie générale a l’air d’un sacré foutoir. Après tout, disons-le : Féerie générale est un sacré foutoir. Mais un joyeux foutoir qui, malgré le titre, contourne les idées générales pour plonger au cœur de situations particulières proposées sur un ton primesautier et avec, contre toute attente, un certain esprit de suite. Emmanuelle Pireyre n’oublie rien en cours de route, même pas ce qu’on pensait qu’elle avait jeté là pour ne jamais le reprendre plus tard. Les articulations sont discrètes mais elles sont présentes. Et si, à la fin, on hésite à se dire certain des réponses à donner aux sept questions fondamentales, une certitude nous habite : ce fut un moment d’enchantement comme il s’en rencontre peu, un festival de petits bonheurs qui, ajoutés les uns aux autres, en forment un grand.