Les 5 cas à bannir d’un avion (sous peine de meurtre)

Posté par Elodie Legale le 23 août 2013 dans My Fucking Life | 49 Vues | 1 Response

A chaque fois que je prends l’avion, je redoute de tomber sur eux. Les 5 cas que je souhaite absolument éviter à bord de l’avion… Malheureusement il y en a toujours au moins un. Cette petite liste non exhaustive pourra vous aider (ou pas) à surmonter les spécimens les plus irritants des cieux !

1. La mâcheuse de chewing-gum

Cela pourrait très bien être un « mâcheur » mais souvent ce sont des femelles. La mâcheuse de chewing-gum, n’est pas comme on pourrait le penser de la famille des bovins. Elle est repérable grâce au son harassant que produit sa mâchoire. Mâcher un chewing-gum comme une vache Limousine n’est pas sexy, et si par malheur ce spécimen est assis à côté de vous, et que vous n’avez pas d’écouteurs sous la main, faites attention à la tentation de meurtre qui risque d’être élevée.

2. L’enfant dissipé (et ses parents qui s’en foutent)

Attention, ce spécimen est vicieux. Son apparence souvent très mignonne est trompeuse. A tout moment, il peut se mettre à hurler comme un cochon qu’on égorge sans pour autant attirer l’attention des parents qui s’en cognent comme de l’an 40. Le papa lit L’Equipe pendant que maman lit Closer, il est donc très possible de ressentir à ce moment-là une forte envie d’appeler les services sociaux.

3. Le textoteur fou

Ce spécimen est dangereux pour lui-même et pour son entourage. Il faudra réprimer votre envie de l’insulter. Ce spécimen dégaine sereinement son téléphone portable pendant la phase d’atterrissage pour envoyer un texto ou passer un appel. Les regards noirs et les soupirs ne le dissuaderont pas. La seule façon d’en venir à bout c’est d’intervenir physiquement.

4. Les applaudisseurs à l’atterrissage

La plupart du temps, il s’agit d’un troupeau. Ils n’ont aucune raison sensée de se comporter ainsi sauf sil s’agit d’un troupeau de gens qui passent leur certificat de « beauf » (auquel cas : des félicitations sont de rigueur !)

5. L’angoissé de service

Il suffit d’entrer en zone de turbulence pour détecter l’angoissé de service. Il va s’agripper à ses accoudoirs, fermer les yeux et se mettre à transpirer. Il est possible que le spécimen se découvre une religion à ce moment-là et se mette à prier tous les Dieux qui existent. L’angoisse de ce spécimen est plutôt contagieuse, mais l’envie de lui dire que si on se crashe ce n’est pas son accoudoir qui va lui sauver la vie est encore plus forte. Evitez toutefois tout geste brusque avec ce spécimen sous peine de morsure.

Et vous, quels spécimens ne supportez-vous pas de rencontrer en avion ?