Un petit billet pour me souhaiter de douces vacances. Car on n'est jamais aussi bien servi que par soi-même. Ce billet tendre (billet de feignasse, j'avoue) est dédié à mes lecteurs, mes abonnés sur Twitter qui lisent mes âneries et qui me postent de petites pensées caféinées (voir captures d'écran ci-haut et ci-après) le matin.
Valérie vivant dans quelque alpage publie sur Twitter deux clichés personnalisés et dédiés à votre serviteur, l'auteur de ce blog, de fraises et de tendresse. Des fraises sur ce blog. Des cerises sur son compte Twitter. Une salade de fuits rouges, jolie jolie. Les liens se tissent entre vous mes lecteurs et moi qui vous raconte mon immodeste histoire. Vous, amis que j'ai laissés avec un pincement au cœur dans mon Périgord natal, ou vous, amis épistolaires que j'ai pas encore rencontrés, je vous rencontre en vous/me racontant, en narrant les gens que je croise, et les aventures farfelues d'un péquenot à la capitale.
Bonnes vacances ! Ma petite vengeance personnelle à celles et ceux qui m'ont nargué en publiant des photos de leurs orteils en éventail devant leur piscine (qu'ils se fassent sur-le-champ piquer par un taon jaloux froufroutant pas loin) (ou le bac à sable emprunté aux amis) ou devant, les enfoirés, l'océan. Je les plains car c'est désormais mon tour de narrer (bientôt) mon périple down under, au pays des koalas et kangourous. Tremblez, je vous ferai le récit de mon premier tartare de kangourou. Je pars tout bientôt à Melbourne où fleurit dimanche prochain le premier jour du printemps.
Cafés servies en wifi par Valérie. Merci, Valérie. Bonnes vacances, Valérie.
(Conclusion : Valérie boit beaucoup de café.)