J'ai des lecteurs et même Monsieur Lecoq consulte les pages de ce blog. J'en suis fort aise mais la lecture ne lui n'en est pas tant aisée ou du moins s'attache-t-il ( c'est un exercice d'acrobatie politique ) à en tirer une interprétation erronée ou convulsive dans sa précipitation à me citer et me déconsidérer.
Appréciant son honnêteté et son refus des excès et son abjection pour l'usage de méthodes disqualifiantes je demeure circonspect quant à prise de position. S'il est une vérité c'est bien celle que je n'ai jamais voulu porte menace ou calomnie alors que le sujet même de ma révolte est bien la dénonciation de telles pratiques qui dénaturent l'essence même du débat républicain Le nom de Monsieur Mari par ailleurs n'apparaît aucunement sur mes post et la seule remarque dans mon article était de mettre en garde le gestionnaire d'un site hébergeur qu'un document diffamatoire et grossier, apposé sur les murs de notre cité renvoyait les fontenaysiens pour mieux renforcer ses intentions, pour mieux étayer ses intentions malsaines, sur son site et au coeur d'un débat où à volonté à satiété monsieur Dornbusch déverse des propos bien éloignés de la bienséance politique et républicaine. La salubrité du débat politique ne peut se satisfaire de ces déversements obscènes. Monsieur Lecoq se serait trouvé diffamé et de tels procédés auraient été déployés à son endroit que je n'aurais aucunement dévié de ma ligne de morale politique et aurais pris tout naturellement sa défense. En outre considérer et faire valoir que l'hébergement de tels documents ou de lignes diffamatoires et de mettre en lumière les que la loi républicaine réglemente ces excès par une panoplie de sanctions me trouble.
Mettre en avant la loi de la République n'est aucunement le signe d'une menace vengeresse de vil étage.
Bien au contraire tant la loi régule les équilibres perdus. Monsieur Lecoq de part ses fonctions auprès du Maire de Vincennes devrait en être le premier à comprendre ce recours. La seule campagne sereine Monsieur Lecoq est de voir disparaître ces documents, ces lignes, qui à la lecture attentive de votre post ne me semblent pas vous émouvoir ou être le premier de vos soucis. lI est malheureusement de coutume parfois, par je ne sais quel travers intellectuel, de bien souvent accorder du crédit aux agresseurs et de dénier à la victime le droit à la reconnaissance de son état! Tout l'honneur de la campagne à venir est dans ces quelques lignes, Monsieur Lecoq.