Vous connaissez naturellement les pyramides d’Egypte, la plupart des pyramides pré-colombiennes, et même sans doute celles des Iles Canaries. Il existe cependant de nombreuses pyramides de part le monde dont l’étude n’a jamais réellement été faite et qui restent totalement inconnues du grand public.
Elles sont situées dans des zones inaccessibles mais l’on est en droit de s’interroger : pourquoi un tel silence autour de découvertes archéologiques d’une portée aussi considérable ?
Décidément, on finirait par croire que les institutions, politiques, scientifiques, religieuses et économiques se sont ligués pour nous maintenir dans l’ignorance la plus complète. Dormez, Dormez, voilà bien le mot d’ordre qu’on entend de tout côté, entre les lignes. Auraient-ils peur qu’une découverte nouvelle ne vienne soudain ébranler un édifice qu’ils ont eu tant de mal à établir ?
LES PLUS VIEILLES CONSTRUCTIONS DU MONDE RETROUVÉES PRÈS DES CÔTES JAPONAISES par Jean-Michel (historien), équipe « Renseignements ».
Elles pourraient précéder les pyramides d’Egypte de près de 5000 ans. Jusqu’à récemment, les chercheurs les plus en pointe pour ce qui est des grands bâtiments antiques dans le monde étaient généralement d’accord sur le fait que les édifices les plus anciens ayant une taille et une complexité architecturale importante, c’est à dire les pyramides d’Egypte, n’avaient pas plus de 5000 ans.
Quand le chercheur John Anthony West et ses collègues trouvèrent des indices pouvant indiquer que le sphinx du plateau de Guizeh pouvait être vieux de plus de 10000 ans, cela causa un énorme tapage, dû à la dénonciation sans équivoque de cette théorie par les archéologues « officiels ».
La raison primordiale de ce tumulte était sans doute la prise de conscience par les universitaires que l’existence d’une structure sophistiquée d’un tel âge remettrait en cause tous les concepts en ce qui concerne l’histoire ancienne et la civilisation humaine.
Pourtant, la preuve de l’existence d’antiques superstructures continue à émerger à d’autres endroits du globe, comme par exemple certaines ruines dans les hautes Andes (Machu-Pichu par exemple), et comme récemment découverts certains sites près des côtes japonaises.
Voici la traduction d’un court extrait d’un texte du Sunday Times de Londres daté du 26 avril 1998, et écrit par Trushar Barot :
« Une structure, qui apparaît comme étant la plus vieille construction d’envergure du monde ( deux fois l’âge des pyramides d’Egypte), vient d’être découverte. Cette ziggourat rectangulaire en pierre, retrouvée au fond de la mer du Japon, près des côtes nippones, pourrait être le premier témoignage d’une civilisation encore inconnue de l’âge de pierre, de l’avis même des archéologues.
Le monument fait environ 183 mètres de large, et 27 mètres de haut. Sa datation a révélé qu’il remontait à au moins 8000 ans av. JC.
Le professeur Masaki Kimura, un géologue de l’université Ryukyu à Okinawa, qui fût le premier scientifique à étudier le site, a conclu que la mystérieuse structure de 5 étages avait été bâtie de la main de l’homme. «Cet objet n’a pas été façonné par la nature. Si cela avait été le cas, on pourrait s’attendre à trouver des débris dus à l’érosion autour du site, mais il n’y a pas de fragments de roche ici » a-t-il indiqué. « La découverte de ce qui apparaît être une route entourant la construction est une autre preuve de la nature artificielle du bâtiment.» a ajouté le professeur Kimura.
Une autre preuve de l’origine artificielle de ce monument fut apportée par la découverte dans les alentours d’autres tertres sous-marins, plus petits.
Les premières traces d’une quelconque civilisation au Japon remontent à environ 9000 av. JC. les hommes y étaient à cette époque des chasseurs-cueilleurs. Il n’y a rien dans les archives archéologiques qui permettent de penser à la présence à cette époque d’une culture assez avancée pour bâtir une structure telle qu’une ziggourat.
Les archéologues britanniques s’intéressent également à cette découverte, qui fera l’objet d’un documentaire* sur Channel 4 cet été. Jean-Michel, historien, équipe « Renseignements » de l’UFOCOM.
Les photos sont l’exclusivité de Robert M Schoch et nous le remercions vivement pour son autorisation généreuse nous permettant de les diffuser. RDV sur le site officiel du Dr Schoch pour découvrir les explorations passionnantes de ce chercheur hors norme.http://www.teamatlantis.com/schoch/yonaguni1.html Nous recommandons d’ailleurs à tous les anglophones intéressés par le sujet de se procurer le livre « Voices of the rocks » en le commandant à l’adresse suivante : http://teamatlantis.com/schoch/form.html
Le Mystère de l’Atlantide
La genèse de l’affaire
C’est fin 1971, que les chercheurs découvrirent qu’il s’agissait d’une gigantesque structure de la forme d’un grand U pouvant faire office de port dont la jetée courbée mesurait plus de 600 m de long sur 10 m de large et formée de blocs de pierres dont la constitution ne présente aucune ressemblance avec les formations naturelles qu’ils surplombent.
Ces blocs sont régulièrement alignés, parfaitement à l’équerre dans leurs trois axes et assemblés par une sorte de ciment. Certains d’entre eux avaient près de 5 m de côté et leur épaisseur variait entre 50 et 150 cm, ce qui parfois correspondait à une masse d’environ 5 tonnes par bloc. De plus on constata en effectuant des tranchées d’exploration que certains de ces blocs étaient posés sur des piliers carrés de 30 cm de hauteur, ce qui détruisait définitivement la thèse de certains géologues, comme le nommé Harrison qui d’emblée sans attendre la fin de l’exploration de l’équipe « Valentine » avait déclaré que le mur de Bimini était un ensemble d’origine strictement naturel. Par la suite on découvrit encore aux alentours de Bimini d’autres structures de formes linéaires, rectangulaires, polygonales et même pyramidales.
Mais quel pouvait être l’âge de ces constructions ?
Des études de datation au carbone 14 estimèrent que pour une profondeur de 6 m, ces structures devaient être à la surface il y a environ 10000 ans, ce qui ne signifie pas qu’elles venaient d’être édifiées à ce moment là. Mais en ce qui concerne les bâtisseurs, c’est le mystère le plus total.
En effet rien de ce qui nous est connu de l’histoire des amérindiens (qui remonte à environ 2000 ans avant J.C) ne nous permet la moindre hypothèse concernant le peuple qui vivait à cette époque. En Europe aucune peuplade n’aurait été capable en cette période d’édifier une construction aussi monumentale. C’est pourquoi il valait mieux étouffer cette affaire dans l’œuf, comme certains ont cru pouvoir le faire aisément.
Quelques revues sérieuses en ont cependant fait état sommairement: Science&Vie n°640 de Jan. 1971- Sciences et Avenir les numéros 286, 291, surtout 298 de Dec.1971, puis vint l’ouvrage de Pierre Carnac: « L’Histoire commence à Bimini » chez R. Laffont 1973
Il est à noter un fait étrange concernant le site de Bimini.
Le 14 août 1926 soit 42 ans plus tôt dans une déclaration faite sous hypnose contrôlée et référencée sous le N°996-1, (et surtout sans que l’on ne lui ait rien demandé à ce sujet), le fantastique thérapeute et médium américain EDGAR CAYCE révélait que sur le plateau de Bimini avait existé jadis une formidable civilisation, (Voir les remarquables ouvrages: »les Mystères de l’Atlantide revisitée » de E.E Cayce, aux Editions de Mortagne 1994, ou « l’univers d’Edgar Cayce »de D.K. de BIZEMONT n° 2786 Ed. de poche J’AI LU New Age )
En 1933, il révélait aussi que : « des vestiges des temples de Poséidia, portion engloutie de l’Atlantide, allaient ressurgir de la vase des fonds sous-marins près de l’île de BIMINI au large de la Floride et probablement vers les années 1968 ou 1969 « .
Conclusion
Les découvertes de 1971 semble bien lui donner raison. Ainsi donc, la découverte des structures cyclopéennes de Bimini, illustre encore admirablement, le majestueux passé des civilisations anciennes, dont il ne demeure hélas, pour activer l’éveil de la mémoire fugitive et pourtant orgueilleuse des hommes, que l’alignement de pierres gigantesques, toujours plus énigmatiques.
Il est peut-être opportun de présenter ici quelques informations, peu divulguées, remontant aux années 77 et 78, et qui concernent directement la découverte de Bimimi.
Découverte d’une pyramide immergée
L’écrivain Charles Berlitz, petit-fils du fondateur des écoles de langues Berlitz, a commencé à se passionner pour le Triangle des Bermudes dès 1945, alors qu’il était lieutenant colonel dans l’Armée de l’Air Américaine. A l’époque de nombreux bombardiers américains avaient disparu à cet endroit. Célèbre pour avoir écrit son best-seller, “Le Triangle des Bermudes”, il fut contacté en 1977 par des pêcheurs locaux qui avaient remarqué la présence de ce qui semblait être le sommet d’une montagne sous-marine. Il s’est alors rendu sur place et, grâce à un système de sonar latéral plus perfectionné que le sonar horizontal que l’on utilise pour localiser les bancs de poissons, il a pu confirmer la présence d’une pyramide.
“Si nous parvenons à déterminer exactement la nature de cette pyramide enfouie à une profondeur de neuf cents mètres, nous prouverons ainsi l’existence d’une civilisation, qui, si elle n’est pas celle de l’Atlantide, a néanmoins aujourd’hui’ disparue” a-t-il déclaré lors d’une conférence de presse.
Dans la foulée, l’écrivain fit également remarquer que la structure se situait sur la même latitude que la pyramide égyptienne, et qu’elle avait de surcroît un angle identique.
Force est de constater que sa découverte a provoqué un certain émoi dans les milieux scientifiques, et notamment aux Etats-Unis.
L’écrivain a affirmé pour conclure, que depuis six mois, les Etats-Unis et l’Union Soviétique enquêtaient conjointement dans le Triangle des Bermudes, dans le cadre d’un plan dénommé “Polymode” auquel participaient des bateaux des deux puissances.
Dans son livre “Sans laisser de traces” paru quelques mois plus tard chez Flammarion, Charles Berlitz affirme que la pyramide découverte sous les eaux de l’Atlantique est à peine moins grande que la pyramide égyptienne de Kheops.
Entre autre document, l’ouvrage contient un schéma de la pyramide sous-marine, tel qu’il a été tracé par l’homme qui le premier l’a repérée au sonar, le capitaine Don Henry.
La légende du schéma dit notamment “Le sonar latéral ou celui utilisé pour repérer les bancs de poissons ont révélé la présence, au fond de la mer, de masses volumineuses qui font penser à des pyramides et à d’autres constructions. Le profil obtenu par le capitaine Don Henry depuis son bateau, équipé de sonar pour la pêche, montre ce qui parait être une pyramide dont la hauteur est estimée à 420 pieds (128 mètres), avec une base de 540 pieds (164 mètres).
Si c’est bien d’une pyramide qu’il s’agit, elle se rapproche beaucoup de la grande pyramide de Gîzeh en Egypte, dont la hauteur est d’un peu plus de 480 pieds (146 m)”.
Expédition sous-marine dans les Bermudes
Organisée par l’industriel grec, Ari Marshall, une expédition scientifique eut lieu à la fin des années 70 pour tenter d’identifier l’objet de forme pyramidale localisé par 100 m de profondeur sous la mer. Le Docteur Manson Valentine, de Miami, spécialiste en archéologie sous-marine, le scientifique français Jean-Pierre Petit, et le recordman du monde de plongée libre, le Marseillais Jacques Mayol (récemment disparu dans des circonstances aussi dramatiques que mystérieuses), firent -à notre connaissance- partie du voyage.
Nouvelle confirmation ?
Le 06 décembre 2001 l’agence Reuters annonçait que des explorateurs utilisant un sous-marin miniature pour sonder le fond de la mer au large de la côte de Cuba avaient filmé des ruines submergées d’une éventuelle « Cité Perdue » de la Péninsule Guanahacabibes sur l’extrémité ouest de l’île Caraïbéenne. Ils confirmaient ainsi la découverte de structures de pierres profondément immergées en dessous de la surface de l’océan qui pourraient avoir été érigées par une civilisation inconnue, il y a des milliers d’années. Les chercheurs ont averti qu’ils n’avaient pas entièrement compris la nature de leur trouvaille et ont projeté de retourner en janvier pour l’analyser plus avant.
Les structures mystérieuses, découvertes à la profondeur de 640 mètres se présentent à la manière d’une zone urbaine, et pourraient être plus anciennes d’environ 1500 ans, que les grandes pyramides de Gizeh d’Egypte.
Bien que n’en ayant pas la Preuve, les chercheurs pensent que les structures devraient avoir été construites quand le lit actuel de l’océan était au-dessus de la surface. Parmi les formes observées au sonar à balayage, on a pu reconnaître d’éventuelles pyramides, des routes et des bâtiments.
Question : pourquoi les grands médias ne vous ont-ils jamais parlé de toutes ces découvertes ?
Pyramides en Chine
Si l’on en croit une vieille légende la centaine de pyramides découverte en Chine serait en réalité la propriété de créatures venues d’ailleurs !
Au début du XX° siècle, en 1912 précisément, deux australiens firent une découverte exceptionnelle dans la vaste plaine de Qin Chuan, située dans la province de Shensi, en Chine centrale. Une découverte qui avait de quoi reléguer le site de Gizeh en Egypte au second rang des plus extraordinaires édifices de l’humanité !
En effet, dans cette région du Tibet, située dans les montagnes de Qin Ling Shan, à environ 100 kilomètres au sud-ouest de la ville de Xi’an, en République populaire de Chine, se trouve une zone immense contenant pas moins de 100 pyramides ! Oui, vous avez bien lu, 100 pyramides.
Cette découverte eut lieu il y a un peu moins d’un siècle, et depuis, l’isolement de la Chine aidant, c’est le black out complet. Un silence qui n’est malheureusement pas sur le point de s’arrêter…
Lorsque nos deux australiens s’informèrent auprès d’un monastère bouddhiste voisin, on leur répondit que des archives du monastère (sous forme de disques datant de 5000 ans) prétendaient déjà à l’époque que ces pyramides étaient « très anciennes ». Certains commerçants locaux interrogés affirmaient quant à eux qu’elles remontaient à l’époque des premiers empereurs.
On sait que d’après la légende, les empereurs chinois étaient les descendants des « fils du ciel » arrivés sur Terre avec leurs dragons rugissants et métalliques. De là à en conclure que ces pyramides furent l’œuvre de visiteurs venus de l’espace, il n’y a qu’un pas…
Une zone interdite
En mars 1994, le chercheur allemand Hartwig Hausdorf a traversé la province de Shensi, où il a pu admirer 6 pyramides. Revenant sur les lieux quelques mois plus tard, il a pu filmer cette fois un document de 18 minutes. C’est en visionnant son film, une fois rentré en Allemagne, qu’il s’est rendu compte de la présence de nombreuses autres pyramides en arrière plan. En réalité, il y aurait ici plus de 100 pyramides dans une aire de 2000 kilomètres carrés !
La grande majorité des pyramides sont dans un état délabré du fait des pillages qui se sont succédés au cours des siècles. Il faut noter que ces pyramides chinoises sont généralement faites d’argile et de terre, et les fermiers se sont abondamment servis de ce matériel pour leurs champs et leurs fermes.
Hartwig Hausdorf a rencontré les pires difficultés pour obtenir l’autorisation de poursuivre ses recherches. Le gouvernement chinois ne permet en effet aucune investigation sérieuse. Et pour ruiner tout espoir de recherche, ordre a été donné de planter des conifères à croissance rapide sur les pyramides. Ainsi, dans 20 ans on pourra dire : « Quelles pyramides ? » et affirmer qu’il s’agit là de simples collines.
La Grande Pyramide Blanche
Les pyramides observées par Hartwig Hausdorf atteignent une hauteur de 25 à 100 mètres. Il en existe une cependant, la pyramide blanche, qui semble être la mère de toutes les autres, atteignant la hauteur immense de 300 mètres ! Malheureusement cette pyramide est située à proximité immédiate d’une base de lancement du programme de l’espace chinois, et de fait, aucune personne étrangère n’est autorisée à s’en approcher.
Les pyramides chinoises sont très semblables à celles découvertes en Amérique du sud (Mexique, Guatemala, etc). Peut-être ont-elles été construites par les mêmes bâtisseurs ?
Découvertes de nouvelles pyramides dans la jungle du Pérou
Introduction
Les satellites ERTS (Earth research technical satellites) lancés par la NASA sont conçus pour photographier à des fins de recherche, la topographie, les ressources, les potentiels agricoles, les eaux et les forêts de la planète.
Donc le 30 décembre 1975, le satellite Landsat II, un ERTS, a pris à la faveur de son activité normale, à environ 1000 kilomètres de haut, une série de photographies d’une région située approximativement par 13° de latitude Sud et 71°30′ de longitude Ouest, au-dessus des jungles du sud-est du Pérou.
La genèse de l’affaire
Sur l’une de ces photographies, on aperçoit une série de huit taches équidistantes inexpliquées, disposées sur deux lignes droites parfaitement parallèles.
Des calculs faits par l’Institut d’Archéologie Andine de Lima estimèrent que chaque point représente un objet d’une hauteur légèrement inférieure à celle de la grande pyramide de Gizeh en Egypte.
Des avions et des hélicoptères volant à faible altitude ont survolé ces objets et ont constaté qu’il s’agissait de pyramides couvertes d’arbres et de ronces.
On s’aperçut qu’elles n’étaient pas seulement au nombre de huit, mais de douze, car quatre autres plus petites s’alignaient également à coté des huit grandes et n’apparaissaient pas sur la photo de Lansat. Et ce n’est pas tout. Deux énormes formations rectangulaires recouvertes de végétation, et deux autres de forme semi-circulaires se dressent vers le sud, dans les environs immédiats et semblent faire aussi partie du complexe découvert.
Plusieurs expéditions ont été mises sur pied pour accéder par terre à cette région et elles ont été forcées d’abandonner leur progression, après la mort ou la disparition de certains explorateurs, car en plus des serpents et des insectes vénéneux, il y a la présence d’indiens hostiles nommés « Machiguenga » qui s’opposent aux intrus à l’aide de sarbacanes armées de flèches empoisonnées.
(Voir « L’Atlantide retrouvée » (1984) de Charles BERLITZ Editions du ROCHER 28, rue Comte-Félix-Castaldi à Monaco. )
Conclusion
Si après analyse sur le terrain, lorsque cela sera possible, il s’avérait bien, que ces structures font partie d’un ensemble architectural, l’évidence de leur très grande ancienneté, s’imposera donc à nous d’emblée, car on ne voit pas comment il peut être possible de construire de telles pyramides en pleine forêt.
Souhaitons finalement que cette affaire soit rapidement éclaircie, car elle nous invite comme bien d’autres à découvrir le surprenant et fabuleux destin des anciennes civilisations inconnues de notre planète.
http://www.elishean.fr/?p=26039