Nous venons de passer un cap, le week-end du 15 août. Certes les grandes vacances ne sont pas encore terminées, mais ce 15 août est une borne suffisamment forte pour que déjà, le compte à rebours s’enclenche.
Apogée dans le temps des vacances d’été, cette date fatidique se caractérise par un paroxysme de commerces fermés et de voisins envolés ailleurs. Ni avant, ni après, nous ne connaîtrons ce même désert estival. Tout s’arrête ou presque, le temps suspend son vol ouvrant une parenthèse de quelques jours durant lesquels la ville se met à vivre sur un autre rythme, caché toute l’année. Des chaussées sans voitures, des bruits moindre ou carrément le silence, une connivence entre ceux qui restent comme complices d’un méfait qui doit absolument rester secret s’ils veulent pouvoir en profiter encore l’an prochain.
Hâtons-nous d’en profiter. La météo n’en dit rien encore, nous sommes toujours en août, mois des congés payés mais pourtant, quel est ce goût amer en bouche, cette ride imperceptible qui fronce le front, cette sensation indéfinissable qui brouille les pensées. Le cerveau qui sait tout, lance de premiers avertissements discrets, profite mon gars, profite car la redescente est entamée. Or, qui dit descente, dit vitesse et les vacances vont s’achever plus rapidement que tu ne le souhaiterais.
Nous venons de passer un cap, le week-end du 15 août. Certes les grandes vacances ne sont pas encore terminées, mais ce 15 août est une borne suffisamment forte pour que déjà, le compte à rebours s’enclenche.
Apogée dans le temps des vacances d’été, cette date fatidique se caractérise par un paroxysme de commerces fermés et de voisins envolés ailleurs. Ni avant, ni après, nous ne connaîtrons ce même désert estival. Tout s’arrête ou presque, le temps suspend son vol ouvrant une parenthèse de quelques jours durant lesquels la ville se met à vivre sur un autre rythme, caché toute l’année. Des chaussées sans voitures, des bruits moindre ou carrément le silence, une connivence entre ceux qui restent comme complices d’un méfait qui doit absolument rester secret s’ils veulent pouvoir en profiter encore l’an prochain.
Hâtons-nous d’en profiter. La météo n’en dit rien encore, nous sommes toujours en août, mois des congés payés mais pourtant, quel est ce goût amer en bouche, cette ride imperceptible qui fronce le front, cette sensation indéfinissable qui brouille les pensées. Le cerveau qui sait tout, lance de premiers avertissements discrets, profite mon gars, profite car la redescente est entamée. Or, qui dit descente, dit vitesse et les vacances vont s’achever plus rapidement que tu ne le souhaiterais.