« Tous les produits, jusqu’aux emballages, doivent maintenant être chargés d’une force de séduction, avoir du style, un look, une esthétique. Un nouveau « capitalisme artiste » l’a remporté, aucun corps de métier ne fonctionne plus sans designer, sans styliste, sans coloriste. Le consommateur, lui, bien plus qu’un fanatique des marques, devient un « `Homo æsteticus », un individu qui crée sa propre allure, son cadre de vie, qui « remixe », qui « matche », invente sa personnalité… »
(Gilles Lipovetsky)
Lu dans le Monde week-end