Les Yeux jaunes des crocodiles

Par Sheily
C’est précisément parce que Katherine Pancol fait actuellement la promotion de son dernier roman, La Valse lente des tortues, que je préfère évoquer le précédent (et premier tome de la série), Les Yeux jaunes des crocodiles.

Ce roman met en scène deux sœurs que tout oppose. Iris, belle riche, élégante, parisienne et superficielle. Joséphine, des kilos en trop, des problèmes d’argent, mal dans sa peau, banlieusarde et extrêmement brillante. A cause d’un mensonge de la belle Iris, Joséphine devient le nègre de sa sœur et écrit le best-seller de la saison.

Ajoutez à cela le tourbillon de la vie d’une dizaine d’autres personnages tout aussi attachants, perturbés, voire pervers, on obtient un livre qui parle non seulement de sentiments, mais surtout d’écriture. Et quand la littérature ose se regarder le nombril, le résultat s’avère aussi efficace que la meilleure série américaine ou telenovela mexicaine.