Ce doit être la mode. L’idée que les gens sont de plus en plus grands, qu’ils ont besoin d’exercice physique, que sais-je ? Toujours est-il que poser le fessier sur un banc public pour se reposer devient tâche ardue, voire impossible, la preuve en deux exemples :
Tout d’abord le banc sur lequel on a le droit de s’asseoir, mais c’est haut quand même. Pas question d’avoir les pieds qui touchent le sol et le dos bien calé contre le dossier. Ce banc fait partie du mobilier urbain très nature, très fantaisie mais pas très pratique du Bois de l’hippodrome, au Bouscat (près de Bordeaux) :
Dans un second temps, le banc géant, sur lequel il est impossible de s’asseoir, c’est même interdit. Un banc pour marcher dessous, un anti-banc. A voir jusqu’au 1er septembre dans le jardin des plantes de Nantes :