"La France ne veut pas choisir entre deux thèses, celle qui présente le dalaï-lama comme non violent et au-dessus des partis, et celle qui le présente comme un chef de gouvernement en exil", explique Jean-Pierre Raffarin, soucieux de ménager la Chine, où des manifestations antifrançaises et des appels au boycott des magasins Carrefour se sont déroulés la semaine dernière.
Source : lepoint.fr