Je me suis procuré le dernier album de Francis Cabrel, Des roses et des orties. Quel bon disque.
À la première écoute, je me suis dit, c’est du Cabrel.
Écoute, réécoute, rééécoute, réééécoute. Je suis à terre, comblé, sous le charme de sa musique, de ses textes.
La chanson sur ce disque qui m’a enjôlé, dès la première écoute, la neuvième sur le CD, African tour. Je l’ai fait écouter à mon amour et à mes amis; ils ont succombé au charme de la mélodie et à l’humanisme des paroles. C’est une histoire d’émigration, de désespoir et d’espoir. Géniale.
Puis, j’ai découvert la cinquième, Des hommes pareils, une chanson un peu plus rock, mais avec encore une fois, des textes Cabréliens, d’une profondeur humaine et poétique. Comme la neuvième, je l’ai écoutée à répétition, sans m’en lasser.
Et il y a les autres, des chansons presque parfaites, parfois un peu folk, légèrement country, des chansons pleines de douceur, de sensibilité et d’amour, qui font tellement de bien à mon cœur et à ma vie. Comme la onzième, dont le titre est Les gens formidables.
J’adore.
Merci Monsieur Cabrel, vous avez toute mon admiration et mon respect.
Lo x