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Al Jefferson surpris du contrat à 41 millions de dollars

Publié le 13 août 2013 par Insidebasket @insidebasket
Al Jefferson a quitté l'Utah pour s'engager avec les Bobcats et pour un contrat de près de 41 millions de dollars sur trois ans. Big Al revient sur son arrivée et ses aspirations à Charlotte.
Afin de remanier une peinture et une efficacité à la fois offensive et défensive en berne, les Bobcats ont jeté leurs espoirs et leurs une partie de leur flexibilité salariale sur l'ancien Jazz. La direction des Bobcats a souligné qu'un joueur tel que Jefferson était le plus adéquate au projet à moyen terme qui est de redonner un nouvel élan à la franchise de Michael Jordan comme le souligne son coach Steve Clifford :
"Al aide constamment au développement de chacun de ses partenaires ou du moins il peut y contribuer si nous faisons en sorte de lui permettre de jouer un tel rôle."
Les Bobcats espèrent que Jefferson pourra assurer la partie défensive qui fait défaut depuis plusieurs saisons à la franchise de Charlotte, mais qu'il pourra donner plus de densité à l'attaque en s'appuyant sur le pick-and-roll avec Kemba Walker qui a confirmé son goût pour l'attaque. 
Ce qui a surtout motivé Jefferson, c'est sa discussion avec les coachs de Charlotte comme il l'explique sur Grantland.com :
"Cela m'a fait tellement de bien de savoir qu'il y avait une équipe qui avait tellement foi en mon jeu. Dans ma tête c'était clair que c'était marché conclu. Et puis, quand ils ont commencé à parler d'argent, c'était comme, ''Oh mon dieu''. Ca a été la cerise sur le gâteau."
Jefferson est donc le nouveau franchise player des Bobcats, celui par qui la réussite de Charlotte est possible. Outre son apport dans la raquette d'un point de vue attaque, c'est sa science de la défense qui doit faire la différence :
"Ce n'est pas un secret que je me bats dans cette ligue grâce à ma défense. Cependant ma défense sur les pick-and-rolls est ma faiblesse. Je dois m'y mettre réellement. Je dois juste le bosser, bouger mon cul et le faire. Au Jazz on me surnommait The Black Hole et c'est vraiment ce que je suis. Aller à Utah m'a fait progresser. Je suis passé à un stade de ma carrière où je sens que je dois prendre tous les coups."
Voilà quelque chose de positif pour Jordan. Avec un lourd contrat qui n'a pas compromis les chances de recrutement futur des Bobcats et un joueur talentueux et reconnu dans la peinture, la franchise de Charlote va peut-être voir la fin de son calvaire. Ca aussi serait la cerise sur le gâteau.

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