Avec 200.000 tonnes de CO2 traitées annuellement, le site sera à ce jour le plus important en France. Ce projet "ouvre la voie à l'une des solutions permettant de contribuer aux objectifs mondiaux de réduction de gaz à effet de serre", fait valoir Veolia.
Le dioxyde de carbone est émis par la combustion du biogaz (méthane) extrait des déchets stockés par Veolia à Claye-Souilly, la plus grande décharge du groupe en France. Il sera "injecté, sous contrôle, dans un aquifère salin, situé à plus de 1.500 mètres de profondeur pendant plusieurs années".
Le projet, d’un coût non communiqué, se fera en partenariat avec Geogreen, société commune entre l’Institut français du pétrole (40 %), le groupe d’ingénierie Géostock (40 %) et le Bureau de recherches géologiques et minières (BRGM, 20 %).<>