Pour ma part, j'ai choisi une activité qui ne coûte pas encore trop cher, qui peut être pratiquée presque partout et par tous les temps : je préfère me faire couper les cheveux lorsque le moral est en berne. Certes, cela ne résoud pas le fond du problème, mais au moins, cela permet d'entretenir la forme et de se dire que non, tout n'est pas totalement perdu et que la vie ne tient, parfois, qu'à un cheveu.