A l’instar d’un polar bien sombre de Hitchcock ou encore un thriller de Brian De Palma, une place de choix est donnée une nouvelle fois à l’androgynie au sein des collections Automne-Hiver 2013, à travers une pièce maîtresse : le costume. Ce dernier, si on l’aime plus masculin que féminin, on le préfère cette saison, égayée des fameuses rayures tennis si chères au banquier et businessman. Vu aux défilés de grandes maisons telles MOSCHINO, MICHAEL KORS, VANESSA BRUNO ou encore YOHJI YAMAMOTO, le costume à rayures tennis hante les créateurs, et arrive à notre portée avec des collections très attendues chez MANGO ou encore ZARA. Une silhouette brumeuse, quitte à basculer dans la schizophrénie des genres, comme un air d’ « Incorruptibles », pourquoi le costume serait-il réservé à la gente masculine après tout ? Quand Boys meet girls...
A l’instar d’un polar bien sombre de Hitchcock ou encore un thriller de Brian De Palma, une place de choix est donnée une nouvelle fois à l’androgynie au sein des collections Automne-Hiver 2013, à travers une pièce maîtresse : le costume. Ce dernier, si on l’aime plus masculin que féminin, on le préfère cette saison, égayée des fameuses rayures tennis si chères au banquier et businessman. Vu aux défilés de grandes maisons telles MOSCHINO, MICHAEL KORS, VANESSA BRUNO ou encore YOHJI YAMAMOTO, le costume à rayures tennis hante les créateurs, et arrive à notre portée avec des collections très attendues chez MANGO ou encore ZARA. Une silhouette brumeuse, quitte à basculer dans la schizophrénie des genres, comme un air d’ « Incorruptibles », pourquoi le costume serait-il réservé à la gente masculine après tout ? Quand Boys meet girls...