Depuis plusieurs jours déjà, dans le grand parc de Marly, j’avais repéré un faucon crécerelle. Son territoire se situe à l’extrémité du bassin et couvre une prairie ponctuée de trois petites zones marécageuses couvertes de hautes herbes broussailleuses, ceintes d’un grillage en interdisant l’accès aux promeneurs.
Perché sur les poteaux de clôture ou au sommet des arbres taillées en cônes entourant le bassin, il reste des heures à guetter une proie. Parfois, n’y tenant plus, il s’envole et parcourt son territoire. Caractéristique du faucon crécerelle, il est capable de faire du surplace, les ailes à l’horizontale dans la position dite du Saint-Esprit, puis apercevant un mulot de se laisser tomber et le clouer au sol de ses serres. J’ai eu l’occasion de le voir faire.
Il fallait que je le prenne en photo. Si je le voyais très bien, lui aussi ne me perdais pas de vue ! La portée de mon téléobjectif ne me permettait pas de rester à couvert sous les arbres de l’allée cavalière, il fallait que je m’approche tout en prenant en compte la position du soleil pour ne pas rater mes clichés.
J’ai lancé mon offensive un matin. Le soleil était favorablement placé et surtout moins chaud que l’après-midi. Lentement je me suis approché, faisant des haltes souvent. Nous nous regardions, jaugeant la distance nous séparant. Je shootais néanmoins à chaque avancée. Puis, quand je me suis trouvé au plus près, légèrement caché par l’ombre protectrice d’un arbre, j’ai déployé mon zoom et je l’ai mitraillé.
Royal, le faucon me perçait de son regard acéré, sûr de lui et de mon inoffensive attaque. Quelques dizaines de clichés et j’ai jugé que cela suffirait pour cette fois. Je me suis éloigné tout aussi discrètement que j’étais venu. Maintenant, mon prochain objectif, c’est de réussir à le prendre quand il sera en vol stationnaire au-dessus d’une proie. Ca ne va pas être une mince affaire ! Faucon, yaka …
Depuis plusieurs jours déjà, dans le grand parc de Marly, j’avais repéré un faucon crécerelle. Son territoire se situe à l’extrémité du bassin et couvre une prairie ponctuée de trois petites zones marécageuses couvertes de hautes herbes broussailleuses, ceintes d’un grillage en interdisant l’accès aux promeneurs.
Perché sur les poteaux de clôture ou au sommet des arbres taillées en cônes entourant le bassin, il reste des heures à guetter une proie. Parfois, n’y tenant plus, il s’envole et parcourt son territoire. Caractéristique du faucon crécerelle, il est capable de faire du surplace, les ailes à l’horizontale dans la position dite du Saint-Esprit, puis apercevant un mulot de se laisser tomber et le clouer au sol de ses serres. J’ai eu l’occasion de le voir faire.
Il fallait que je le prenne en photo. Si je le voyais très bien, lui aussi ne me perdais pas de vue ! La portée de mon téléobjectif ne me permettait pas de rester à couvert sous les arbres de l’allée cavalière, il fallait que je m’approche tout en prenant en compte la position du soleil pour ne pas rater mes clichés.
J’ai lancé mon offensive un matin. Le soleil était favorablement placé et surtout moins chaud que l’après-midi. Lentement je me suis approché, faisant des haltes souvent. Nous nous regardions, jaugeant la distance nous séparant. Je shootais néanmoins à chaque avancée. Puis, quand je me suis trouvé au plus près, légèrement caché par l’ombre protectrice d’un arbre, j’ai déployé mon zoom et je l’ai mitraillé.
Royal, le faucon me perçait de son regard acéré, sûr de lui et de mon inoffensive attaque. Quelques dizaines de clichés et j’ai jugé que cela suffirait pour cette fois. Je me suis éloigné tout aussi discrètement que j’étais venu. Maintenant, mon prochain objectif, c’est de réussir à le prendre quand il sera en vol stationnaire au-dessus d’une proie. Ca ne va pas être une mince affaire ! Faucon, yaka …