Non, non, rien n’a changé pendant que les champs brûlent. Résident des banquises, comme je l’imagine, je tuerai la pianiste, femme libérée à la beauté d’Ava Gardner.
Elisa, couleur café, je voudrais te dire que je t’attends, encore et encore, pour un flirt avec toi. Besoin d’amour ?
Quand t’es dans le désert, c’est pas la joie, mais chacun fait c’qui lui plaît.
J’veux du soleil car j’ai tout essayé et je dois m’en aller quand la ville dort.
Sous les jupes des filles, les belles étrangères, vertige de l’amour, j’aime regarder les filles comme à Ostende car je ne veux pas être grand.
Marcelle, bourrée de complexes, t’as pas tout dit, t’as pas tout dit sur la fille du Père Noël, les filles de mon quartier, ni sur le vieux dans le bas du fleuve en cargo de nuit. Mais j’aime tes genoux et nous dormirons ensemble.
Amoureux solitaire, je n’ai besoin de personne dans mon île, et pour une amourette, je chante le soleil et la lune, la mer et Verlaine, dans le jardin extraordinaire.
Où sont tous mes amants dit ma jolie Louise : il n’y a pas d’amour heureux dans les flammes de l’enfer. C’est comme ça !
J’avais deux amis sur la route de Memphis et la voix d’Elvis, résiste au bon vieux temps du rock’ roll. Il faudra leur dire que je suis un voyou et que le diable marche avec nous.
Les passantes, sur la route, j’en rêve encore à Rocamadour mais avec les filles je ne sais pas. Suzanne, emmène-moi car il faut que je m’en aille.
A Amsterdam, je vais et je viens et, tout comme avant, je tire ma révérence.
Demain je recommence clopin-clopant, puisque vous partez en voyage en Harley-Davidson.
Vous qui passez sans me voir, dans le tourbillon de la vie, osez Joséphine, c’est extra.
T’as beau pas être beau disait Armand à la femme du sergent, le vent nous portera.
Les temps changent à San Francisco, chez Laurette, avec mon frère, parachutiste.
Les mots en italique n’appartiennent pas à des titres de chansons. Connaissez-vous les noms de ceux et celles qui les chantent ? Toutes ?