Marc
Coquillages Crus et Tassés.
La plage, la plage, ils n’ont que ce mot-là à la bouche !
Enfer et malédiction !!! Je suis bien à Paris ! Vos photos de pieds en éventail sur une plage de sable fin au bord d’une eau transparente, dont les embruns viennent délicatement rafraichir le teint hâlé que le soleil imprime avec volupté sur votre visage. Je m’en fiche !! J’essaie désespérément –je sais-d’être crédible là… Alors je me raccroche, moi voyez-vous, je n’ai pas le sel qui me ronge la peau ! Non, moi je mange des supers burgers au Blend ! Je n’ai pas non plus les tympans percés par la sempiternelle rengaine tapageuse des plages, CHOUCHOU, BEIGNEEEETTTTTTT ! Non, non, non, je berce mes délicates oreilles au rythme des sets de Dj de la plage de Glaz’art, sirotant un cocktail sur mon transat, Eh oui !
Puis bon les moutards qui font des châteaux de sable haut comme trois pommes ça va 5min (2 en temps effectif) c’est de l’art minimaliste certes, mais je veux du vivant, du crève-cœur, de l’émotion à tous les coins de Paris !
Alors quoi ? Hein, la plage c’est le grand air, mais elle a des écrans géants, la plage ?!!!
J’ai besoin de vacances, je crois.
P.s : Mais je ne boude pas mon plaisir à Paris ! Fuck da beach ! Oups…