J’ai du mal à réaliser que le premier mois de vos vacances soit déjà écoulé. Moi qui me suis pris congés à perpétuité, ça ne change pas grand-chose à ma vie, mais parfois quand je pense à vous tous qui me lisez...
Certains y verront un moment charnière, digne de la parabole du verre à moitié plein ou à moitié vide. Fin des vacances pour les juilletistes, début des congés pour les aoûtiens. Si les premiers rentrent contrits, ils ont au moins le bronzage arrogant, ayant pris soleil et chaleur tous ce mois. Les seconds, eux, ont l’espoir et le sourire aux lèvres de ceux qui partent. A cet instant donc, tout le monde affiche une bonne mine.
Cette année, les juilletistes semblent avoir été les plus malins, ou les plus chanceux. Ils ont eu le beau temps pour leurs vacances et le mois qui commence étant toujours le moins chargé question boulot, ils pourront remettre le pied à l’étrier en douceur. Ceux qui partent, eux sont vidés, essorés de leur année de travail et de ces chaleurs que les transports en communs rendent encore moins supportables. Je préfère oublier cette époque… Le comble de la malchance serait pour eux que août soit détestable et frisquet avec, cerise sur le gâteau, un retour de la canicule fin septembre ! Ce sont des choses qui arrivent.
Je suis taquin. Allez, bonnes vacances à vous et fredonnons ensemble cette mélodie désuète mais néanmoins d’actualité :
J’ai du mal à réaliser que le premier mois de vos vacances soit déjà écoulé. Moi qui me suis pris congés à perpétuité, ça ne change pas grand-chose à ma vie, mais parfois quand je pense à vous tous qui me lisez...
Certains y verront un moment charnière, digne de la parabole du verre à moitié plein ou à moitié vide. Fin des vacances pour les juilletistes, début des congés pour les aoûtiens. Si les premiers rentrent contrits, ils ont au moins le bronzage arrogant, ayant pris soleil et chaleur tous ce mois. Les seconds, eux, ont l’espoir et le sourire aux lèvres de ceux qui partent. A cet instant donc, tout le monde affiche une bonne mine.
Cette année, les juilletistes semblent avoir été les plus malins, ou les plus chanceux. Ils ont eu le beau temps pour leurs vacances et le mois qui commence étant toujours le moins chargé question boulot, ils pourront remettre le pied à l’étrier en douceur. Ceux qui partent, eux sont vidés, essorés de leur année de travail et de ces chaleurs que les transports en communs rendent encore moins supportables. Je préfère oublier cette époque… Le comble de la malchance serait pour eux que août soit détestable et frisquet avec, cerise sur le gâteau, un retour de la canicule fin septembre ! Ce sont des choses qui arrivent.
Je suis taquin. Allez, bonnes vacances à vous et fredonnons ensemble cette mélodie désuète mais néanmoins d’actualité :
Jeu de briques
Snake
Pacman
Bubble