Je reviens de vacances, je lis un peu la presse, que j’avais quelque peu délaissée, et je découvre que rien n’a changé. Des attentats en Irak, une guerre en Syrie qui n’en finit pas de finir, des morts en Egypte, entre partisans et opposants des Frères musulmans, et puis des morts par accident (un train en Espagne, un car en Italie). L’actualité est désespérante. Pourquoi en parler ? Quant aux poèmes qu’on pourrait écrire, ils seraient bien trop tristes pour plaire à mes lecteurs. Mieux vaut donc continuer à se taire.