My Childhood (1972), My Ain Folk (1973), My Way Home (1978) : trois films qui retracent l’enfance et l’adolescence du cinéaste Bill Douglas à Newcraighall, petit village de mineurs du sud de l’Écosse.
La trilogie est présentée en deux parties :
- My Childhood suivi de My Ain Folk
- My Way Home
Pour les horaires consultez le site du cinéma Comoedia : http://www.cinema-comoedia.com.
Trilogie Bill Douglas
De Bill Douglas
N&B , Copie neuve restaurée
Date de reprise : 31 juillet 2013
My Childhood
Avec Stephen Archibald, Hughie Restorick, Karl Fieseler, Bernard McKenna
GB, 1972, 00h48
Synopsis : En 1945, dans un village minier d’Ecosse, un garçon de 8 ans vit avec sa grand-mère et son frère. Passant le plus clair de son temps seul, il noue une amitié forte avec un militaire allemand retenu prisonnier dans un camp. Mais le soldat doit bientôt quitter le village. Ce premier épisode relate la première étape de la vie d’enfant de Bill Douglas, organisée autour de sa grand-mère maternelle.
My Ain Folk
Avec Stephen Archibald, Hughie Restorick, Karl Fieseler, Bernard McKenna
GB, 1973, 00h55
Synopsis : A la mort de leur grand-mère, les deux frères sont séparés de force. Tommy, le plus âgé, est emmené à l’orphelinat. Démarre alors cette seconde période de l’enfance du cinéaste, où Jamie est recueilli par sa grand-mère paternelle et son oncle. Il continue de vivre dans la solitude, subit la violence et le rejet des adultes. Un regard d’enfant sur le monde, où tout est sensations et immédiateté, filmé avec la conscience du cinéaste adulte.
My Way Home
Avec Stephen Archibald, Paul Kermack, Jessie Combe
GB, 1978, 1h12
Synopsis : Jamie vit un moment en orphelinat, comme son frère, puis retourne chez sa grand-mère. Devenu adolescent, il travaille un temps à la mine puis chez un tailleur. Ensuite il part pour l’Egypte faire son service militaire. Il y rencontre Georges, un jeune homme qui devient son ami et l’aide à s’ouvrir à la vie.
"C’est tout le cinéma anglais qui émerge de ces trois films." – Télérama.
"A la manière de François Truffaut quand il réalise "Les 400 Coups", Bill Douglas a fait de sa trilogie un moyen d’expier toutes les douleurs dont il a souffert des années durant." – Yannick Deplaedt.