Un(e) bon(ne) livre, ça devrait pas faire beaucoup plus de cinq cents grammes

Par Spicynico

Bon, alors comme il y a certains de mes lecteurs qui me soupçonnent d'être un intellectuel, je vais devoir me plier à un exercice bien compliqué, à savoir remuer ma mémoire et vous sortir quelques livres dont j'ai pu commettre la lecture. Je modifie évidemment les règles de cette chaîne à la con, et afin de préserver une légèreté formelle, je vais vous le faire en plusieurs jours*.

Aujourd'hui, les livres de mon enfance (avant dix ans) :
Oui-oui.

La série de la bibliothèque rose, les petits livres à pochette cartonnée. A l'époque, il n'y avait que ça et pas tous les dérivés capitalistes qui nous inondent.
Ce dont je me souviens : le personnage Oui-oui a un grelot dans la tête, à chaque fois qu'il dit oui, ça fait du bruit. Il a un grand ami, l'incarnation de la sagesse, le professeur Potiron, qui vit dans un champignon (ça va, tout le monde a pas les moyens de Pamela, faut pas lui en vouloir).
L'anecdote inutile : il n'y a pas très longtemps, je me suis engueulé avec quelqu'un qui me disait que non, le professeur Potiron ne s'appelait pas professeur Potiron. Je lui ai demandé : comment s'appelait le professeur Potiron ? Celui qui vit dans un champignon ? La personne n'a pas été capable de me répondre, j'ai donc considéré que j'avais vaincu.

* et en plus, comme ça, ni vu ni connu j't'embrouille, ça me donne de quoi fournir mon blog pendant quinze jours ; non, pas tous les jours, rassurez-vous !