The White Queen // Saison 1. Episode 6. Love and Death.
Le monde de la Reine Elizabeth est complètement chamboulé et forcément, son avenir est donc incertain. En effet, toute les personnes à qui elle tient son menacées. Elle est de nouveau enceinte
mais sent qu'être elle et Edouard, un malaise règne. Je trouve que cet épisode de The White Queen parvient à la fois à être intéressant, mais également particulièrement ennuyeux.
Pour ce qui est de la partie intéressante, on plonge un peu plus dans l'effroyable vie d'Elizabeth qui n'est pas faites que de choses heureuses. Bien au contraire. Et pour ce qui est de la partie
ennuyeuse, le problème vient du rythme et de la musique de la série qui viennent rapidement plomber la bonne idée en nous berçant comme des enfants. Tout est tellement plat. On n'avance pas
vraiment du coup, le téléspectateur a peut être envie de faire autre chose durant cet épisode. Je sais qu'il ne reste que quatre épisodes après celui ci et que j'ai donc déjà fait le plus gros du
chemin, mais après de beaux efforts notables, The White Queen retombe dans ses travers. Je trouve ça dommage.
Elisabeth n'a pas envie que son fils soit trimbalé afin qu'il devienne le Prince de Galles. C'était assez bouleversant pour le téléspectateur mais aussi pour le personnage. Le seul truc que je
reproche encore une fois au récit, c'est de ne pas nous offrir quelque chose de mémorable. Contrairement à d'autres séries historiques comme The Borgias ou encore The
Tudors qui ont quelque chose de consistant et qui racontent une histoire de façon très jouissive. Ici tout est trop plat pour réellement donner envie. J'ai du mal à savoir où est le
problème mais peut être que cela vient du casting qui n'est pas aussi charismatique que l'on aurait surement voulu qu'il soit. Au fil des épisodes, je suis même de plus en plus déçu par l'héroïne
et son mari, Edouard. Les deux acteurs, sans être complètement mauvais, ne sont pas assez bons pour le sujet qui méritait très certainement un traitement différent. Pour ce qui est de l'histoire
d'Anne qui est pardonnée par Edouard et se retrouve avec son frère, George, j'ai largement préféré.
Note : 4/10. En bref, on retombe dans les travers de The White Queen. Dommage.