C’est sur les chemins forestiers dans le parc de Marly que je croise souvent la Sylvaine.
Des ailes antérieures rousses avec un ourlet plus foncé, et pour distinguer le mâle comme ici, une petite bande noire au centre de l'aile. L’envergure du papillon va de 25mm à 32mm.
Au repos, le papillon tient ses ailes de façon très caractéristique ; alors que ses ailes postérieures sont étalées horizontalement, il place les ailes antérieures contre le corps et les relève jusqu’à un angle de 45 degrés.
La Sylvaine donne une génération par an. Les œufs lisses et hémisphériques sont déposés un à un sur les feuilles. Dès l’éclosion, la jeune chenille commence à enrouler en tube la partie médiane de la feuille de graminée à l’aide de fils de soie tendus en travers. Elle ronge ensuite la pointe de la feuille à partir de ce refuge. Plus âgée, la chenille est trapue, vert clair et à peine poilue, une tête brun foncé ornée de deux bandes jaunes à l’avant.
En automne elle transforme son étui de feuille en un solide hibernarium ; après l’hivernage elle s’alimente encore brièvement puis se nymphose dans une épaisse toile entourée de feuilles à l’extérieur. La chrysalide, presque noire, s’y tient debout.
C’est sur les chemins forestiers dans le parc de Marly que je croise souvent la Sylvaine.
Des ailes antérieures rousses avec un ourlet plus foncé, et pour distinguer le mâle comme ici, une petite bande noire au centre de l'aile. L’envergure du papillon va de 25mm à 32mm.
Au repos, le papillon tient ses ailes de façon très caractéristique ; alors que ses ailes postérieures sont étalées horizontalement, il place les ailes antérieures contre le corps et les relève jusqu’à un angle de 45 degrés.
La Sylvaine donne une génération par an. Les œufs lisses et hémisphériques sont déposés un à un sur les feuilles. Dès l’éclosion, la jeune chenille commence à enrouler en tube la partie médiane de la feuille de graminée à l’aide de fils de soie tendus en travers. Elle ronge ensuite la pointe de la feuille à partir de ce refuge. Plus âgée, la chenille est trapue, vert clair et à peine poilue, une tête brun foncé ornée de deux bandes jaunes à l’avant.
En automne elle transforme son étui de feuille en un solide hibernarium ; après l’hivernage elle s’alimente encore brièvement puis se nymphose dans une épaisse toile entourée de feuilles à l’extérieur. La chrysalide, presque noire, s’y tient debout.