Rien n’active plus de salive, ne génère plus d’émotions et ne suscite plus de passions que les relations entre conjoints, parents et enfants. C’est le berceau de l’humanité. Là où se forgent les personnalités. Là où se mesurent les opposés.
Prenons la boxe. On commence à y jouer dès l’enfance. Échanges de coups, petits et grands. Avec et sans gants rembourrés ou pas. Que l’on teindra en blanc avec le temps. Et là encore, ça dépend. Puisque mêmes les coups sans contact laissent des marques, qui prendront pour certains des années à s’estomper.
Prenons la natation. On s’adapte à un milieu hostile. On y rythme notre respiration. À pleine brasse ou comme des papillons. Dans un esprit de compétition. Et quand elle devient synchronisée, on a droit à un spectacle de toute beauté!
Prenons le tir à l’arc. On se concentre sur sa cible. Elle devient notre point de mire. On sait tout d’elle. Chaque fois qu’on se tire dessus, c’est en espérant viser juste. Qui connaît mieux nos points sensibles que les êtres qui partagent notre quotidien? Chacun sait mieux que quiconque faire mouche de nos fléchettes. Empoisonnées ou ensorcelées.
Quel est ce temple de la renommée qui nous garantira l’éternité?
Est-ce là où nous sommes nés? Dans notre couple? Dans la famille que nous avons fondée? Si séparés ou divorcés, est-ce dans l’entourage de collègues, d’amis, de confidents? Ou encore plus loin, dans un cercle de lecteurs, de participants, de blogueurs, de clients, d’admirateurs?
Mettant un terme à ce marathon de questions, je trouvai la réponse ici, sur mon blogue chéri.