J’ai besoin par cette œil expressif, de sentir que mon cerveau fonctionne toujours, que git au fond de ma rétine une étincelles productif et une humeur inébranlable et la créativité de l’être. Puis il y a toujours cet espace rempli de mots illustrés, la sombre ambivalence sujette à l’éparpillement de mes petits billets postés de jour en jour sans la moindre prétention, sans la moindre conception.
Ce soir accompagné de mon emporté sushi, je passe mon premier weekend seule, seule face à moi-même, les semaines déjà dures à supporter me rappel qu’en fin compte, c’est la même chose… pas la peine que je précise, c’est un jour ordinaire, ont est tout simplement, simplement, un samedi soir sur la terre…