Dans le monde réel, il y a la vacuité, un insaisissable silence qui règne accompagné des murmures qui s’agite dans mes pensées…. Je n’ai pas eu le courage de rentrer au bercail ce weekend, épuisé par mes nombreuses insomnies. La solitude et les années à venir semble me donner tord, je n’ai pas eu raison de mes années passé, j’ai pour compenser à l'instant le monde artistique dans lequel je me réfugie un peu plus chaque fois que loin de la foule tumultueuse, je repose des conséquences de mes actes… Quatre cent quatre vingt minutes d’images incessantes, de couleurs qui pullules pour donner vie à des photography, et redonner vie à des moments de shoot imprenable dont tu jugera les effets en faisant un tour par ici…
J’ai besoin par cette œil expressif, de sentir que mon cerveau fonctionne toujours, que git au fond de ma rétine une étincelles productif et une humeur inébranlable et la créativité de l’être. Puis il y a toujours cet espace rempli de mots illustrés, la sombre ambivalence sujette à l’éparpillement de mes petits billets postés de jour en jour sans la moindre prétention, sans la moindre conception.
Ce soir accompagné de mon emporté sushi, je passe mon premier weekend seule, seule face à moi-même, les semaines déjà dures à supporter me rappel qu’en fin compte, c’est la même chose… pas la peine que je précise, c’est un jour ordinaire, ont est tout simplement, simplement, un samedi soir sur la terre…