Quatrième de couverture :« Tu crois que je suis en train de rater ma vie ? » C’est la question que se posent, peu ou prou, tous les personnages de Mobiles. Pourtant, Pauline, Raphaël, Mathias et les autres n’ont que 25, 30 ans tout au plus, l’âge où on est censé avoir l’avenir devant soi. À ceci près qu’ils entrent dans la vie active. Comment trouver sa place dans cette société ? Comment s’ajuster à ce monde incompréhensible sans renoncer à qui on est ? C’est la question qui est au cœur de ce roman à sept voix, où toutes les trajectoires se combinent et où les situations sont parfois absurdes jusqu’au burlesque. En faisant le portrait d’un groupe d’amis, Sandra Lucbert dresse un tableau mordant de notre société et de ce à quoi ressemble, pour une certaine jeunesse, cette époque qui est la nôtre
Quatrième de couverture :« Tu crois que je suis en train de rater ma vie ? » C’est la question que se posent, peu ou prou, tous les personnages de Mobiles. Pourtant, Pauline, Raphaël, Mathias et les autres n’ont que 25, 30 ans tout au plus, l’âge où on est censé avoir l’avenir devant soi. À ceci près qu’ils entrent dans la vie active. Comment trouver sa place dans cette société ? Comment s’ajuster à ce monde incompréhensible sans renoncer à qui on est ? C’est la question qui est au cœur de ce roman à sept voix, où toutes les trajectoires se combinent et où les situations sont parfois absurdes jusqu’au burlesque. En faisant le portrait d’un groupe d’amis, Sandra Lucbert dresse un tableau mordant de notre société et de ce à quoi ressemble, pour une certaine jeunesse, cette époque qui est la nôtre