19 juillet 2013
Jamais depuis 25 ans je n'avais vu une aussi grande efflorescence végétale que cette année !
Il a tellement plu cet hiver et ce printemps que les vignes vierges et toutes les plantes grimpantes ont envahi les fenêtres, ressurgi de trous d'où elles menacent d'entreprendre un nouvel étouffement, un irrésistible enveloppememnt. Il nous a fallu arracher les branches pour ouvrir les fenêtres et les volets ...
Maintenant en revanche, les roses sèchent sur pied car la touffeur reste depuis une semaine à plus de 30 degrés. Nous arrosons sans savoir si ce sera suffisant ou même utile. Le sureau que nous ratiboisons chaque année afin de pouvoir ouvrir la fenêtre de notre chambre, est florissant, on va pouvoir faire de la bonne confiture ...
Claude est enfin arrivé hier après 800 km d'une route transversale harrassante, mes vacances comme les siennes, commencent vraiment.
Nous avons tant de choses à faire ensemble ... Tant de trucs à nettoyer, à ranger ... Car nous avons été peu présents cet hiver du fait des activités professionnelles de Claude. La maison s'en ressent. Elle nous fait savoir qu'elle n'est pas contente d'avoir été ainsi négligée.
Claude est aussi arrivé avec les sacs de livres : ceux que nous avons lus cet hiver et ceux que nous avons programmés pour lire cet été. Et mes pelotes de laine pour les tricots à réaliser.
Benjamin a revêtu la chemise que je lui ai cousue ce printemps. Il apprécie.
Il a tellement joué dans la piscine qu'il est allé dormir sans dîner hier soir. Terrassé !